kati1337
02.06.2021 09:02:38
- #1
Mais ici, le cas semble apparemment différent. C’est pourquoi je chercherais aussi à avoir une conversation ouverte. N’hésite pas à parler de ton expérience dans l’ancien appartement, que depuis tu es un peu sensible. voir s’ils seraient prêts à faire un petit test avec toi. Et surtout, qu’ils fassent attention, puisque de toute façon ils ne sont pas dehors, à éteindre la musique.
La dernière fois ça avait bien fonctionné, j’avais mentionné que nous aimerions regarder la télévision et demandé s’ils pouvaient couper la musique quand ils ne sont plus dehors. Elle avait alors immédiatement été coupée.
Peut-être que ça a aussi aidé à montrer à quel point la basse nous arrive fort chez nous.
Si je pouvais faire un vœu, je souhaiterais qu’ils ne tiennent pas à écouter la musique dehors. :D Je ne peux pas dire ce que je trouve pire, à l’intérieur ou à l’extérieur. Ça énerve de toute façon. À l’intérieur, parce que je me sens dérangé dans mon espace protégé. Et à l’extérieur, parce que du coup mon jardin devient pratiquement inutilisable. J’ai fait une vidéo une fois, mais je crois qu’on ne peut pas la télécharger ici. Ce n’est pas grave.
L’idée est maintenant d’avancer par étapes.
Nous avons finalement choisi la clôture de protection de vue en bois. D’abord parce que ça crée aussi une limite visuelle, qu’on peut délimiter un peu notre propre domaine et aussi se débarrasser de la vue sur le cabanon détesté. En plus, j’ai mis quelque chose de haut le long de la limite pour faire grimper du lierre et des clématites, j’aime bien visuellement.
Je sais que ce n’est pas une protection phonique fiable – mais au moins il y aura QUELQUE CHOSE entre la boite du voisin et ma terrasse. Jusqu’à présent il n’y a rien du tout, même pas un brin d’herbe, et la distance est seulement de 5-6 mètres. :)
Quand ce sera en place, on verra comment ça évolue. Combien de fois ils voudront écouter de la musique dehors en été, comment on arrivera à en discuter autour d’une bière, et s’ils pourront comprendre ma situation. Baisser un peu les basses pourrait déjà beaucoup aider, et le voisin lui-même a dit le weekend dernier quand nous avons parlé brièvement « on peut parler de tout » – et il a raison. Peut-être que je dois aussi un peu mieux défendre ma position. Je ne veux jamais embêter personne à cause de ma sensibilité, mais il faut honnêtement dire que son volume est un peu trop élevé pour un dimanche après-midi, quand j’y réfléchis posément. Peut-être qu’on peut se rencontrer quelque part au milieu. Là, je dois aussi dépasser ma timidité et oser parler de mon problème. Ce serait d’abord moins cher que d’investir 5000€ dans une protection phonique. En principe, sur une propriété privée, on ne devrait pas forcément en avoir besoin.
Les autres voisins sans doute ne sont pas dérangés parce qu’il n’y a personne derrière, et de l’autre côté il y a juste un chemin et un peu de nature – le voisin suivant est nettement plus loin que nous.
Si les premières démarches ne fonctionnent pas et qu’ils font souvent de la musique trop forte en été, on réfléchira à comment rendre notre clôture en bois « plus étanche ».
Il y aura déjà quelque chose de bétonné qui couvre toute la surface. L’idée serait alors de travailler avec des matériaux qui absorbent le son et qui conviennent pour l’extérieur. Par exemple du liège ou de la fibre de coco – et de les fixer de manière créative sur notre clôture, aussi uniformément que possible.