Der Da
11.09.2012 16:22:00
- #1
aja, le capital propre est déjà important. Car c’est lui qui détermine le taux d’intérêt. Mais à part ça, peu importe vraiment combien on apporte.
À mon avis, ce sont surtout les banques qui sont responsables. Il ne s’agit pas d’un téléviseur ou d’une voiture. Il s’agit de plus. Et dans l’intérêt des clients, les banques devraient être beaucoup plus prudentes.
Quand je pense à ce qui nous a été proposé, et qu’on a d’abord maquillé les chiffres, nous serions aujourd’hui vraiment dans la merde. La banque principale nous a proposé directement un crédit de 350 000 € sans capital propre.
Heureusement, nous sommes des gens très prudents, et nous réfléchissons volontiers aux offres avant d’accepter. La mensualité aurait été de 55 % de mon revenu net. Beaucoup trop élevé, et sur 20 ans, avec 1 % d’amortissement. C’est un scandale de mettre une chose pareille sur papier. Si un client signe ça, il n’a qu’à s’en prendre à lui-même. Et personne, aucun profane, ne peut vraiment estimer l’ampleur d’un projet de construction, avant de l’avoir fait soi-même.
Nous avons opté pour un crédit beaucoup plus petit, augmenté notre capital propre, et nous sommes maintenant à jamais du côté sûr.
Nous allons bientôt avoir un enfant, et nous n’avions absolument pas conscience de ce qui nous attendait financièrement. Pas un mot du banquier à ce moment-là...
Ce que font les banques est un jeu avec les désirs et les rêves des jeunes couples. Elles sont soutenues par des publicités sans scrupules et des promoteurs immobiliers douteux, qui parlent encore de location-vente et maintiennent le prix de départ aussi bas que légalement possible. Ensuite vient la mauvaise surprise.
On nous a proposé notre maison pour 190 000 €. Entre-temps, avec de nombreuses additions, personnalisations et mises à jour techniques, il en coûte 225 000 €. Les 10 000 € initialement prévus pour les travaux de terrassement n’ont pas pu être respectés, il y a eu beaucoup de surprises, etc. Ici, les banques devraient simplement savoir mieux que quiconque que chaque construction coûte plus cher, et qu’en fin de compte, plus de capital est demandé que ce qui a été initialement demandé... mot-clé : financement complémentaire. Et là, les banques jouent aussi un jeu perfide. Elles refusent avec des arguments absurdes. C’est ce qui nous est arrivé. Notre mensualité est d’environ 30 % de mon revenu net. Ma femme bénéficie d'une année de congé parental et reprend ensuite un mi-temps... et pourtant, on nous refuse un financement complémentaire pour une misère de 100 € par mois.
Les arguments sont, comme je l’ai dit, absolument absurdes. Elles refusent car elles n’ont pas de valeurs comparables concernant les biens immobiliers dans la région... Selon leur calcul, notre maison et terrain valent 50 000 € de moins que ce que nous payons. Et après plusieurs relances, on nous a fait d’abord une offre immorale : remboursement complet en 5 ans... mensualité de 600 €, ou pas de financement complémentaire. Entre-temps, elles ont arrêté les négociations. Plus aucune volonté de dialogue.
Cela ne nous touche pas trop, car nous avons encore des ressources privées qui interviennent en cas d’urgence, et nous renonçons maintenant simplement à l’aménagement extérieur et au garage, mais je trouve cela malhonnête. Si nous n’avions pas un soutien familial pour nous rattraper, nous devrions maintenant craindre pour tout le projet. Car beaucoup de coûts (surcoûts de fondation, frais cachés de viabilisation, et autres) sont apparus, que personne n’avait prévus au départ. Ni notre conseiller financier, ni le constructeur, ni l’avocat qui a vérifié nos contrats.
Et c’est précisément à partir de ces expériences personnelles que je trouve super que de tels articles soient écrits. Il faut réveiller les gens, et leur montrer que ça peut vraiment très mal tourner.
À mon avis, ce sont surtout les banques qui sont responsables. Il ne s’agit pas d’un téléviseur ou d’une voiture. Il s’agit de plus. Et dans l’intérêt des clients, les banques devraient être beaucoup plus prudentes.
Quand je pense à ce qui nous a été proposé, et qu’on a d’abord maquillé les chiffres, nous serions aujourd’hui vraiment dans la merde. La banque principale nous a proposé directement un crédit de 350 000 € sans capital propre.
Heureusement, nous sommes des gens très prudents, et nous réfléchissons volontiers aux offres avant d’accepter. La mensualité aurait été de 55 % de mon revenu net. Beaucoup trop élevé, et sur 20 ans, avec 1 % d’amortissement. C’est un scandale de mettre une chose pareille sur papier. Si un client signe ça, il n’a qu’à s’en prendre à lui-même. Et personne, aucun profane, ne peut vraiment estimer l’ampleur d’un projet de construction, avant de l’avoir fait soi-même.
Nous avons opté pour un crédit beaucoup plus petit, augmenté notre capital propre, et nous sommes maintenant à jamais du côté sûr.
Nous allons bientôt avoir un enfant, et nous n’avions absolument pas conscience de ce qui nous attendait financièrement. Pas un mot du banquier à ce moment-là...
Ce que font les banques est un jeu avec les désirs et les rêves des jeunes couples. Elles sont soutenues par des publicités sans scrupules et des promoteurs immobiliers douteux, qui parlent encore de location-vente et maintiennent le prix de départ aussi bas que légalement possible. Ensuite vient la mauvaise surprise.
On nous a proposé notre maison pour 190 000 €. Entre-temps, avec de nombreuses additions, personnalisations et mises à jour techniques, il en coûte 225 000 €. Les 10 000 € initialement prévus pour les travaux de terrassement n’ont pas pu être respectés, il y a eu beaucoup de surprises, etc. Ici, les banques devraient simplement savoir mieux que quiconque que chaque construction coûte plus cher, et qu’en fin de compte, plus de capital est demandé que ce qui a été initialement demandé... mot-clé : financement complémentaire. Et là, les banques jouent aussi un jeu perfide. Elles refusent avec des arguments absurdes. C’est ce qui nous est arrivé. Notre mensualité est d’environ 30 % de mon revenu net. Ma femme bénéficie d'une année de congé parental et reprend ensuite un mi-temps... et pourtant, on nous refuse un financement complémentaire pour une misère de 100 € par mois.
Les arguments sont, comme je l’ai dit, absolument absurdes. Elles refusent car elles n’ont pas de valeurs comparables concernant les biens immobiliers dans la région... Selon leur calcul, notre maison et terrain valent 50 000 € de moins que ce que nous payons. Et après plusieurs relances, on nous a fait d’abord une offre immorale : remboursement complet en 5 ans... mensualité de 600 €, ou pas de financement complémentaire. Entre-temps, elles ont arrêté les négociations. Plus aucune volonté de dialogue.
Cela ne nous touche pas trop, car nous avons encore des ressources privées qui interviennent en cas d’urgence, et nous renonçons maintenant simplement à l’aménagement extérieur et au garage, mais je trouve cela malhonnête. Si nous n’avions pas un soutien familial pour nous rattraper, nous devrions maintenant craindre pour tout le projet. Car beaucoup de coûts (surcoûts de fondation, frais cachés de viabilisation, et autres) sont apparus, que personne n’avait prévus au départ. Ni notre conseiller financier, ni le constructeur, ni l’avocat qui a vérifié nos contrats.
Et c’est précisément à partir de ces expériences personnelles que je trouve super que de tels articles soient écrits. Il faut réveiller les gens, et leur montrer que ça peut vraiment très mal tourner.