11ant
03.01.2023 18:22:58
- #1
- ce serait une belle résolution du Nouvel An si les TE mentionnaient ce genre de conseils plus souvent eux-mêmes ;-)
Montre-nous cette maison et gagne de multiples opportunités de conseils pour des améliorations (au besoin on se fait reprocher d’être parfois récalcitrant aux conseils, et alors). Professionnellement, je cherche celui qui la construira, mais vous (tous les deux, donc aussi le voisin de moitié !) devriez vraiment prendre conscience qu’une moitié de maison jumelée n’est conçue que par quelqu’un prêt à réduire les sommes (voir « Une maison jumelée a DEUX moitiés », regarde construire-maintenant ou ici dans le forum le fil Goalkeeper).
Bingo. La variabilité des maisons types / propositions de construction éprouvées est essentiellement la même entre bois à ossature et « pierre sur pierre ». Rarement le cadre de variantes est aussi restreint que dans la série Dennert Icon (qui est d’ailleurs « prête », mais « massive »).
Il en est même ainsi que, malheureusement, une majorité des fournisseurs « préfabriqués » sont désormais prêts à faire du « sur-mesure » « au millimètre » pour chaque complication que l’on aurait encore évitée avec soin à l’époque bénie de la fidélité à la grille.
Ce point d’interrogation prend dans le Code de la route (signal 101) la forme d’un point d’exclamation dans un triangle bordé de rouge. La tâche d’un entrepreneur général (EG) est de recopier sans critique le souhait du client, c’est-à-dire de ne supprimer de bêtises que celles qui seraient des obstacles à l’autorisation. Le profane se jette ainsi sans frein dans un guêpier, alors que la plupart des architectes indépendants méritent leur honoraire (quand on ne les engage pas seulement jusqu’à la phase de conception 4).
C’est ça. On engage un EG soit pour le gros œuvre, soit « clé en main », le « premium moins » étant en fin de compte la variante la plus chère. Même chez les fabricants de « préfabriqué », les maisons à finir soi-même sont meilleures que les solutions complètes allégées. Et il existe aussi des maisons en kit.
Planifiez impérativement ensemble (ce qui ne signifie pas que les moitiés doivent être identiques ou exactement symétriques). Cela vaut même si l’on préfère des méthodes de construction différentes !
Le point le plus critique est la question du sous-sol, surtout dans le pire des cas (« moitiés penchées », une avec et une sans sous-sol), à laquelle s’ajoute une importance décisive pour la coordination temporelle. Le second point critique est l’ajustement des profils de maison à la jonction. Si on garde ces deux principales dimensions de complication à l’œil, la base pour éviter un chantier chaotique est posée. On peut ensuite même – si l’on considère cela comme une source de salut – se permettre l’individualisme pour lui-même, en choisissant différentes entreprises, voire différentes méthodes de construction. Idéalement toutefois, on prend pour la phase gros œuvre le même entrepreneur, puis après on peut « à la rigueur » tenter le défi de savoir si Villabajo ou Villariba est meilleur pour rainurer et poser des carreaux. Il n’est pas nécessaire d’ériger chaque projet de maison jumelée en « guerre au barbecue » :)
D’autre part, je ne peux que confirmer l’évaluation
issue de la pratique. L’illusion souvent exprimée que la « mutualisation du pouvoir d’achat » de deux petits maîtres d’ouvrage conduirait à des remises spectaculaires est en réalité un mythe à 100%.
On continue avec le plan : en gros, nous avons déjà notre maison sur papier et cherchons quelqu'un pour la construire.
Montre-nous cette maison et gagne de multiples opportunités de conseils pour des améliorations (au besoin on se fait reprocher d’être parfois récalcitrant aux conseils, et alors). Professionnellement, je cherche celui qui la construira, mais vous (tous les deux, donc aussi le voisin de moitié !) devriez vraiment prendre conscience qu’une moitié de maison jumelée n’est conçue que par quelqu’un prêt à réduire les sommes (voir « Une maison jumelée a DEUX moitiés », regarde construire-maintenant ou ici dans le forum le fil Goalkeeper).
Chez les fournisseurs de maisons préfabriquées, je dois couper un modèle pour que cela corresponde, ce qui plaide de nouveau pour le massif chez un petit entrepreneur local.
Bingo. La variabilité des maisons types / propositions de construction éprouvées est essentiellement la même entre bois à ossature et « pierre sur pierre ». Rarement le cadre de variantes est aussi restreint que dans la série Dennert Icon (qui est d’ailleurs « prête », mais « massive »).
Je considère comme un mythe que chez un constructeur préfabriqué on ne trouve que des plans du catalogue. La plupart acceptent volontiers ton argent et construisent ton projet, dès lors qu’il est physiquement réalisable.
Il en est même ainsi que, malheureusement, une majorité des fournisseurs « préfabriqués » sont désormais prêts à faire du « sur-mesure » « au millimètre » pour chaque complication que l’on aurait encore évitée avec soin à l’époque bénie de la fidélité à la grille.
Après plus de deux ans sur ce forum, je mettrais tout de même un grand point d’interrogation sur l’idée qu’il soit bon que le maître d’ouvrage arrive avec son plan qu’il veut juste voir exécuter. Les plans sont un sujet complexe, tu trouveras de l’aide dans la section appropriée.
Ce point d’interrogation prend dans le Code de la route (signal 101) la forme d’un point d’exclamation dans un triangle bordé de rouge. La tâche d’un entrepreneur général (EG) est de recopier sans critique le souhait du client, c’est-à-dire de ne supprimer de bêtises que celles qui seraient des obstacles à l’autorisation. Le profane se jette ainsi sans frein dans un guêpier, alors que la plupart des architectes indépendants méritent leur honoraire (quand on ne les engage pas seulement jusqu’à la phase de conception 4).
Pour des souhaits spécifiques quant au type d’exécution des travaux ou certaines prestations personnelles, il pourrait être judicieux de considérer une construction avec architecte et attribution séparée plutôt qu’un entrepreneur général (que ce soit massif ou préfabriqué). Enlever tout un tas de corps de métier chez un EG n’est pas forcément la façon la plus économique de construire. Et si vous faites vous-mêmes l’électricité, une maison préfabriquée ne sera envisageable qu’avec une installation de base uniquement.
C’est ça. On engage un EG soit pour le gros œuvre, soit « clé en main », le « premium moins » étant en fin de compte la variante la plus chère. Même chez les fabricants de « préfabriqué », les maisons à finir soi-même sont meilleures que les solutions complètes allégées. Et il existe aussi des maisons en kit.
Au début, l’autre moitié penchait pour massif sans sous-sol, puis est passée au préfabriqué car apparemment moins cher (ce que je ne peux pas confirmer jusqu’ici). Les deux sans sous-sol.
Planifiez impérativement ensemble (ce qui ne signifie pas que les moitiés doivent être identiques ou exactement symétriques). Cela vaut même si l’on préfère des méthodes de construction différentes !
Le point le plus critique est la question du sous-sol, surtout dans le pire des cas (« moitiés penchées », une avec et une sans sous-sol), à laquelle s’ajoute une importance décisive pour la coordination temporelle. Le second point critique est l’ajustement des profils de maison à la jonction. Si on garde ces deux principales dimensions de complication à l’œil, la base pour éviter un chantier chaotique est posée. On peut ensuite même – si l’on considère cela comme une source de salut – se permettre l’individualisme pour lui-même, en choisissant différentes entreprises, voire différentes méthodes de construction. Idéalement toutefois, on prend pour la phase gros œuvre le même entrepreneur, puis après on peut « à la rigueur » tenter le défi de savoir si Villabajo ou Villariba est meilleur pour rainurer et poser des carreaux. Il n’est pas nécessaire d’ériger chaque projet de maison jumelée en « guerre au barbecue » :)
D’autre part, je ne peux que confirmer l’évaluation
J’ai aussi demandé à propos de synergies et d’aspects d’économie, mais partout on m’a dit que ce n’est pas beaucoup, le Dixi et l’électricité, au maximum la grue qu’on économiserait, sinon tout est multiplié par deux.
issue de la pratique. L’illusion souvent exprimée que la « mutualisation du pouvoir d’achat » de deux petits maîtres d’ouvrage conduirait à des remises spectaculaires est en réalité un mythe à 100%.