Sur les photos jointes, on voit d’ailleurs le bassin et une partie de notre terrain. Il commence au-dessus ou à droite du tuyau.
Notre terrain est le n° 38a. Le bleu représente le bassin de rétention des eaux pluviales et le vert une bande verte sur laquelle se trouve une station de pompage.
Devant votre terrain, sur la bande verte, se trouve une station de pompage pour évacuer les eaux pluviales, car il n’y a pas de pente, ou parce qu’elles doivent passer par-dessus une colline pour rejoindre la station d’épuration quelque part. Le bassin de rétention sert à réduire le pic de charge lors d’épisodes de fortes pluies en absorbant d’abord l’eau, qui est ensuite pompée de manière continue. Le tuyau blanc doit être l’évacuation du bassin de rétention. Je ne peux pas imaginer que le niveau du terrain reste ainsi le long du chemin piétonnier. Il y a en effet une dépression où toute cette eau s’accumule naturellement. Et les tuyaux sont généralement posés dans des tranchées et non au niveau du terrain environnant.
Le permis de construire a-t-il déjà été délivré ? Y a-t-il déjà des constructions dans la zone ? Peu importe ce que dit la commune, le chemin n’est pas utilisable tel quel, indépendamment de votre terrain. La station de pompage est-elle neuve ? Est-elle déjà en service ? Si ce n’est pas encore terminé, ou que le nouveau bassin n’est pas encore connecté, il est clair que tout sera inondé là-bas. La réponse de la commune reste néanmoins une insolence. Je demanderais à la régie des eaux / aux services municipaux, car ils planifient, construisent et exploitent cela et savent probablement le mieux ce qui se passe.
Quel genre de terrain est-ce ? Bassin de rétention, voie ferrée, industrie... vous avez vraiment payé pour ça ? oh là là
Depuis la terrasse ouest, vue sur le "lac", une route seulement à un coin sous forme d’un rond-point/bout tournant, et quand même plus de 600 m² de terrain. La voie ferrée peut bien sûr être gênante, mais peut-être qu’au moins une clôture anti-bruit/écrantage sera installée. Il y a bien pire.