fahri1902
19.08.2024 10:27:20
- #1
Pas du tout.
1. Vendre la maison et rester en tant que "locataire" dans la maison jusqu’au déménagement
- coûte un loyer
- le délai peut être pénible si le nouveau propriétaire veut entrer dans la maison et que tu ne peux pas encore emménager dans la nouvelle maison
- coûte de l’argent
- sécurité quant au prix de vente que tu obtiens
2. Financement relais
- coûte de l’argent
- le délai coûte seulement de l’argent, pas de stress
- aucune sécurité quant au prix de vente que tu obtiens à l’avenir pour la maison
3. Utilisation des fonds propres
- te coûte "seulement" des fonds propres
- manque de revenus provenant des placements financiers
- éventuellement paiement d’impôts sur les plus-values
- aucune sécurité quant au prix de vente que tu obtiens à l’avenir pour la maison
Tu peux et dois peser pour toi ce qui te plaît le plus personnellement. Toutes les variantes coûtent de l’argent, même s’il est en fait impossible de dire précisément à l’avance quels montants.
Si tu supposes que tu peux emménager rapidement, je choisirais la variante 1. Si ça prend plus de temps, alors la variante 2.
Merci pour ce résumé, c’est à peu près ce que ça donne en fin de compte.
Concernant 1. C’est bien sûr toujours un peu une question de négociation et de l’envie qu’a l’acheteur pour la maison. Je connais beaucoup d’exemples ici, dans les environs immédiats, où les prix sur les annonces ont été dépassés par des ventes aux enchères, oui même maintenant en cette soi-disant phase de taux élevés, qui en fait ne l’est pas, l’argent est toujours très bon marché, mais les coûts de construction ont eux aussi explosé.
Il faut également mentionner en principe que dans cette variante, tous les risques liés à la maison existante disparaissent. Par exemple, de lourds frais de réparation non prévus passent à l’acheteur à partir de la vente, etc.
Concernant 2. Si je ne peux pas faire 1 très rapidement, j’ai des offres de financement relais sur la table et je vais probablement en profiter, il en va de même si l’indemnité d’occupation est trop "élevée".
Concernant 3. C’est en fin de compte la solution la moins avantageuse, il faut aussi que je considère ce que perdent les actions à long terme, on parle aussi des intérêts composés manqués, etc. Cela se cumule bien sûr encore davantage. Ce serait une solution de dernier recours si, par exemple, je n’avais pas de financement relais.
Tu as raison, au final il s’agit plutôt de l’effet bien-être, ce qui est le plus confortable.