KlaRa
08.06.2023 11:24:26
- #1
Il n'existe pas vraiment de "programme de chape", mais il existe la "coordination des interfaces pour le chauffage et la climatisation par le sol dans les bâtiments", où pratiquement chaque étape imaginable pour la réalisation d'une chape chauffante/refroidissante est décrite.
Ensuite, la chape est d'abord soumise à un chauffage fonctionnel lent, puis, après sa fin et 2-3 jours de repos (sans apport de température), le chauffage pour atteindre la résistance à la pose est effectué.
Par la suite, une chape devrait atteindre la maturité d'utilisation – mais ce n'est pas forcément obligatoire.
C'est pourquoi des déterminations de l'humidité résiduelle CM doivent être réalisées; pour les chapes chauffantes (je laisse de côté ici les chapes refroidissantes, car cette forme de température ne s'est pas imposée dans la pratique), des points de prélèvement appropriés (sans risque) doivent être définis lors de la pose de la chape au moyen de petites fanions en plastique.
Et si le sol bouge encore après la pose du parquet, le poseur de parquet devra gérer un dommage consécutif.
Car il a l'obligation de contrôler et la diligence sur le support de pose.
Ce qui peut "fonctionner" ici, c'est un transfert conscient du risque vers un corps de métier suivant.
Si c'était le cas : une démarche honteuse (de la part du sous-traitant précédent et envers le maître d'ouvrage ainsi que le corps de métier suivant).
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Cordialement : KlaRa
Ensuite, la chape est d'abord soumise à un chauffage fonctionnel lent, puis, après sa fin et 2-3 jours de repos (sans apport de température), le chauffage pour atteindre la résistance à la pose est effectué.
Par la suite, une chape devrait atteindre la maturité d'utilisation – mais ce n'est pas forcément obligatoire.
C'est pourquoi des déterminations de l'humidité résiduelle CM doivent être réalisées; pour les chapes chauffantes (je laisse de côté ici les chapes refroidissantes, car cette forme de température ne s'est pas imposée dans la pratique), des points de prélèvement appropriés (sans risque) doivent être définis lors de la pose de la chape au moyen de petites fanions en plastique.
Et si le sol bouge encore après la pose du parquet, le poseur de parquet devra gérer un dommage consécutif.
Car il a l'obligation de contrôler et la diligence sur le support de pose.
Ce qui peut "fonctionner" ici, c'est un transfert conscient du risque vers un corps de métier suivant.
Si c'était le cas : une démarche honteuse (de la part du sous-traitant précédent et envers le maître d'ouvrage ainsi que le corps de métier suivant).
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Cordialement : KlaRa