KlaRa
22.05.2023 09:26:12
- #1
Bonjour, demandeur.
Dans ce forum, il y a déjà eu de bonnes réponses à ta/vos question(s).
Pourquoi une "entreprise sanitaire", qui connaît les installations de gaz et d’eau, poserait-elle un ragréage ?
Citation : "(...) entreprise sanitaire qui a posé des plaques isolantes de 4 cm sans égaliser les creux "
Mais ce n’est pas la question actuellement posée.
Il était correct de s’adresser à l’entrepreneur qui a réalisé le corps de métier (ici : ragréage et sous-construction).
Sur la couche de nivellement, après séchage, une répartition des charges aurait dû être appliquée en premier, par exemple avec des plaques HDF. Puis seulement la couche isolante.
Mais le mal est déjà fait.
Il est vrai qu’une dalle de ragréage qui bascule n’est pas conforme aux règles de l’art. Reste la question de savoir quand, par des flexions permanentes, le ragréage va se fissurer.
Une solution sera de réaliser une injection sous la plaque porteuse ou, dans ce cas, dans la couche isolante.
La zone qui "basculle" est une bonne indication de l’endroit où intervenir.
Il est déconseillé d’ouvrir/démolir la construction pour refaire le ragréage, car le chauffage au sol nécessiterait alors aussi une réparation conséquente du fait de l’intervention.
Je propose l’injection d’une résine expansive.
Mais attention !
Ce travail spécifique doit être réservé exclusivement à des entreprises spécialisées qui connaissent la mise en œuvre !!
Pourquoi ?
Eh bien, les résines expansives peuvent redresser des bâtiments entiers (cas pratique : Burg Linn à Krefeld), la force qui s’exerce en arrière-plan doit être dosée.
Si quelqu’un envisage maintenant d’utiliser une mousse expansive contre le vide, il franchit probablement une limite.
Personnellement, je ne veux pas entièrement condamner cette solution, mais je ne la recommanderais évidemment pas officiellement.
-----------
Cela ne te rassurera sûrement pas, demandeur, mais en réalité il en est ressorti que les travaux préparatoires n’ont pas été suffisamment contrôlés en planéité et éventuellement en résistance à la compression (mot-clé répartition des charges) et/ou réalisés.
C’est pourquoi un soi-disant "facteur de compassion" envers le responsable doit être repoussé.
Car cela reviendrait à assumer toute la responsabilité en tant que maître d’ouvrage (formulé familièrement).
Je ne peux que te souhaiter bonne chance pour la résolution du problème !
Cordialement et bon courage : KlaRa
Dans ce forum, il y a déjà eu de bonnes réponses à ta/vos question(s).
Pourquoi une "entreprise sanitaire", qui connaît les installations de gaz et d’eau, poserait-elle un ragréage ?
Citation : "(...) entreprise sanitaire qui a posé des plaques isolantes de 4 cm sans égaliser les creux "
Mais ce n’est pas la question actuellement posée.
Il était correct de s’adresser à l’entrepreneur qui a réalisé le corps de métier (ici : ragréage et sous-construction).
Sur la couche de nivellement, après séchage, une répartition des charges aurait dû être appliquée en premier, par exemple avec des plaques HDF. Puis seulement la couche isolante.
Mais le mal est déjà fait.
Il est vrai qu’une dalle de ragréage qui bascule n’est pas conforme aux règles de l’art. Reste la question de savoir quand, par des flexions permanentes, le ragréage va se fissurer.
Une solution sera de réaliser une injection sous la plaque porteuse ou, dans ce cas, dans la couche isolante.
La zone qui "basculle" est une bonne indication de l’endroit où intervenir.
Il est déconseillé d’ouvrir/démolir la construction pour refaire le ragréage, car le chauffage au sol nécessiterait alors aussi une réparation conséquente du fait de l’intervention.
Je propose l’injection d’une résine expansive.
Mais attention !
Ce travail spécifique doit être réservé exclusivement à des entreprises spécialisées qui connaissent la mise en œuvre !!
Pourquoi ?
Eh bien, les résines expansives peuvent redresser des bâtiments entiers (cas pratique : Burg Linn à Krefeld), la force qui s’exerce en arrière-plan doit être dosée.
Si quelqu’un envisage maintenant d’utiliser une mousse expansive contre le vide, il franchit probablement une limite.
Personnellement, je ne veux pas entièrement condamner cette solution, mais je ne la recommanderais évidemment pas officiellement.
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Cela ne te rassurera sûrement pas, demandeur, mais en réalité il en est ressorti que les travaux préparatoires n’ont pas été suffisamment contrôlés en planéité et éventuellement en résistance à la compression (mot-clé répartition des charges) et/ou réalisés.
C’est pourquoi un soi-disant "facteur de compassion" envers le responsable doit être repoussé.
Car cela reviendrait à assumer toute la responsabilité en tant que maître d’ouvrage (formulé familièrement).
Je ne peux que te souhaiter bonne chance pour la résolution du problème !
Cordialement et bon courage : KlaRa