scooter
24.11.2019 09:37:23
- #1
Bonjour !
Dans un lotissement adjacent existant avec des parcelles relativement grandes, la surface de plancher a été légalement fixée dans le plan d’urbanisme à 0,3 explicitement comme « limite maximale » afin de préserver le caractère ouvert de la zone résidentielle. Les parcelles sont ainsi facilement constructibles.
Un propriétaire, qui construit des maisons uniquement pour la vente et a déjà divisé une parcelle en 2 plus petites à cet effet, a maintenant obtenu une dérogation de la surface de plancher jusqu’à 0,5. Cela lui permet désormais de construire une maison jumelée et une maison individuelle, alors que, selon le principe d’ouverture du plan d’urbanisme, 2 maisons individuelles ou une maison jumelée auraient été possibles.
Cela engendre maintenant une atteinte que la fixation du plan d’urbanisme était censée éviter, à savoir un volume de construction trop important en direction sud, plus bas topographiquement, avec une ombre conséquente.
=> Les intérêts des voisins n’auraient-ils pas dû être pris en compte dans ce cas ? Et ne pèsent-ils pas plus lourd, étant donné que les parcelles, comme mentionné ci-dessus, auraient pu être construites sans problème conformément au plan d’urbanisme ?
Je vous remercie d’avance !
Dans un lotissement adjacent existant avec des parcelles relativement grandes, la surface de plancher a été légalement fixée dans le plan d’urbanisme à 0,3 explicitement comme « limite maximale » afin de préserver le caractère ouvert de la zone résidentielle. Les parcelles sont ainsi facilement constructibles.
Un propriétaire, qui construit des maisons uniquement pour la vente et a déjà divisé une parcelle en 2 plus petites à cet effet, a maintenant obtenu une dérogation de la surface de plancher jusqu’à 0,5. Cela lui permet désormais de construire une maison jumelée et une maison individuelle, alors que, selon le principe d’ouverture du plan d’urbanisme, 2 maisons individuelles ou une maison jumelée auraient été possibles.
Cela engendre maintenant une atteinte que la fixation du plan d’urbanisme était censée éviter, à savoir un volume de construction trop important en direction sud, plus bas topographiquement, avec une ombre conséquente.
=> Les intérêts des voisins n’auraient-ils pas dû être pris en compte dans ce cas ? Et ne pèsent-ils pas plus lourd, étant donné que les parcelles, comme mentionné ci-dessus, auraient pu être construites sans problème conformément au plan d’urbanisme ?
Je vous remercie d’avance !