Lef47671
13.04.2024 08:25:28
- #1
Bonjour,
merci pour ton retour.
Comme je l’ai déjà écrit : je n’ai pas reçu de plan d’aménagement des sols. Il n’est pas accessible en ligne.
J’aimerais que tu lises attentivement les contributions des autres lecteurs. En effet, j’ai écrit que j’ai examiné le plan d’aménagement des sols avec les employés de la commune. Selon ce plan, le terrain est à 2/3 en zone à l’intérieur du périmètre urbain. Ces « incapables administratifs » me l’ont confirmé oralement et par écrit. La situation publique est donc telle que je l’ai déjà décrite. Si un employé de la préfecture fait des déclarations contradictoires sur le plan d’aménagement des sols et donc sur la situation publique, je ferai valoir mon droit et lui ferai comprendre cela.
Exact ! Et comme ce plan d’aménagement des sols en couleur indique clairement que plus de la moitié du terrain se trouve dans la zone urbaine intérieure, je vais devoir faire comprendre aux autorités, qui voient cela à tort autrement, le bon point de vue.
Comme je l’ai dit, j’aimerais que tu lises les contributions des autres lecteurs plus attentivement. Comme mentionné, 2/3 se trouvent en zone urbaine intérieure et 1/3 en zone extérieure. Et non l’inverse !
Je ne pense pas que nous ayons fait des erreurs « d’amateur » sur les plans. Le plan a été réalisé par un architecte ami qui nous a informés sur la raison pour laquelle il a précisément placé la maison à cet endroit du terrain… c’est que c’est précisément la zone où s’applique la zone urbaine intérieure non planifiée.
J’accepte volontiers ton pari. Nous avons demandé à deux employés responsables du service urbanisme de la commune comment ils voient les chances de succès d’une demande préalable de construction. Selon eux, il n’y a aucun problème si la maison est située sur la partie du terrain qui se trouve en zone urbaine intérieure et si la maison s’intègre dans le bâti existant.
Nous avons demandé à un architecte ami comment il voit les chances de succès d’une demande préalable de construction. Selon lui, il n’y a aucune raison pour laquelle on ne pourrait pas construire dans la partie du terrain située en zone urbaine intérieure.
Nous avons interrogé un entrepreneur en travaux publics pour avoir son avis sur les chances de succès d’une demande préalable de construction. Lui aussi est arrivé au même résultat.
Avant d’acheter le terrain, nous voulions sécuriser ces déclarations par une demande préalable de construction juridiquement contraignante. Mais puisque la préfecture évalue le projet de construction d’une manière fondamentalement différente (zone extérieure au lieu de zone urbaine intérieure non planifiée) que toutes les instances/personnes mentionnées ci-dessus, je me suis posé les questions déjà formulées plus haut. La préfecture peut-elle déclarer le terrain en zone extérieure alors que le plan d’aménagement des sols dit le contraire ? Ou bien y a-t-il eu une erreur par inadvertance à la préfecture…
Cordialement
merci pour ton retour.
On ne l’obtient pas, on le consulte. La plupart sont de toute façon disponibles en ligne.
Comme je l’ai déjà écrit : je n’ai pas reçu de plan d’aménagement des sols. Il n’est pas accessible en ligne.
Pour clarifier, avant que tu ne le répètes plusieurs fois : ce n’est pas toi qui expliques à la commune ou à l’administration comment est la situation publique. C’est eux qui t’expliquent ! Et on ne clarifie rien, ce sont eux qui t’éclairent !
Et même s’il y a quelques incapables dans les administrations (il y en a partout), on peut quand même supposer qu’ils savent ce qu’ils font.
J’aimerais que tu lises attentivement les contributions des autres lecteurs. En effet, j’ai écrit que j’ai examiné le plan d’aménagement des sols avec les employés de la commune. Selon ce plan, le terrain est à 2/3 en zone à l’intérieur du périmètre urbain. Ces « incapables administratifs » me l’ont confirmé oralement et par écrit. La situation publique est donc telle que je l’ai déjà décrite. Si un employé de la préfecture fait des déclarations contradictoires sur le plan d’aménagement des sols et donc sur la situation publique, je ferai valoir mon droit et lui ferai comprendre cela.
Non, bien sûr que non. C’est certain. En couleur sur le plan d’aménagement des sols.
Exact ! Et comme ce plan d’aménagement des sols en couleur indique clairement que plus de la moitié du terrain se trouve dans la zone urbaine intérieure, je vais devoir faire comprendre aux autorités, qui voient cela à tort autrement, le bon point de vue.
Bien sûr que oui. Cela éclaire un peu mieux les faits. Parce qu’honnêtement : la prévision est assez mauvaise si 1/3 est en zone intérieure non planifiée, donc en zone 34, et 2/3 en zone extérieure, puis éventuellement un croquis fait avec amateurisme, où il suffit de faire une erreur pour recevoir un refus.
J’en viens à dire que je vais élargir ma question de l’année dernière à la demande de renseignements sur la construction. Je parie que certaines règles n’ont pas été prises en compte.
Ps. Lis le code de la construction !
Comme je l’ai dit, j’aimerais que tu lises les contributions des autres lecteurs plus attentivement. Comme mentionné, 2/3 se trouvent en zone urbaine intérieure et 1/3 en zone extérieure. Et non l’inverse !
Je ne pense pas que nous ayons fait des erreurs « d’amateur » sur les plans. Le plan a été réalisé par un architecte ami qui nous a informés sur la raison pour laquelle il a précisément placé la maison à cet endroit du terrain… c’est que c’est précisément la zone où s’applique la zone urbaine intérieure non planifiée.
J’accepte volontiers ton pari. Nous avons demandé à deux employés responsables du service urbanisme de la commune comment ils voient les chances de succès d’une demande préalable de construction. Selon eux, il n’y a aucun problème si la maison est située sur la partie du terrain qui se trouve en zone urbaine intérieure et si la maison s’intègre dans le bâti existant.
Nous avons demandé à un architecte ami comment il voit les chances de succès d’une demande préalable de construction. Selon lui, il n’y a aucune raison pour laquelle on ne pourrait pas construire dans la partie du terrain située en zone urbaine intérieure.
Nous avons interrogé un entrepreneur en travaux publics pour avoir son avis sur les chances de succès d’une demande préalable de construction. Lui aussi est arrivé au même résultat.
Avant d’acheter le terrain, nous voulions sécuriser ces déclarations par une demande préalable de construction juridiquement contraignante. Mais puisque la préfecture évalue le projet de construction d’une manière fondamentalement différente (zone extérieure au lieu de zone urbaine intérieure non planifiée) que toutes les instances/personnes mentionnées ci-dessus, je me suis posé les questions déjà formulées plus haut. La préfecture peut-elle déclarer le terrain en zone extérieure alors que le plan d’aménagement des sols dit le contraire ? Ou bien y a-t-il eu une erreur par inadvertance à la préfecture…
Cordialement