Si c’est écrit ainsi dans la DIN, cela peut grossièrement être correct (et la facture sera alors établie en détail), mais qui, en tant que profane, lit une DIN ? Un avertissement à l’avance ou sur l’offre serait donc sympathique.
L’avertissement ne serait alors pas seulement sympathique, mais nécessaire, s’il n’avait pas fait de métrage - c’est-à-dire si le demandeur avait demandé 158 m² : alors l’offre devrait comporter la mention « le volume de commande déterminé selon la DIN peut être considérablement plus élevé que selon le métrage propre du profane ». Si la facture détaillait ensuite chaque centimètre carré, la sur-mesure serait par ailleurs inutile.
Au fait : un artisan qui te fait une offre basée sur un métrage n’est plus une évidence aujourd’hui. [...] Peut-être est-ce un signe qu’il exécutera bien les travaux. Je le considérerais comme un cadeau sans obligation.
Mais digne de gratitude - aussi par le fait de lui donner le marché, même s’il était un peu plus cher qu’un concurrent.
Peu importe comment l’artisan arrive à son prix d’offre ; pour toi, ce qui compte, c’est seulement ce que tu paies et ce que tu en obtiens !
Ce qui est important, c’est l’effet de la DIN sur la sur-mesure : à savoir que l’effet de compensation de la surface de prestation économisée par les ouvertures, par le travail minutieux sur les embrasures, est ainsi pris en compte, et que l’offre peut se rapprocher de l’idéal d’une estimation précise. Cela évite la colère de tomber des nues à la facture pour 220 m², alors qu’on avait seulement prévu 158 m² sur le livret d’épargne.