Bonjour,
une discussion animée s’est développée ici sur le sujet
Il se peut que je sois naïf – en matière de droit incontestablement, mais il ne s’agit pas de savoir qui, en coulisses, a tiré quelles ficelles avant l’acte notarié de vente ou pas. Cela est, de mon point de vue, totalement sans importance, même si le prix de vente était peut-être auparavant plus élevé.
D’une part, il y a un contrat notarié signé avec un montant "x" comme somme convenue pour l’achat d’un terrain de 1 400 m², entre les personnes "v" + "k". D’autre part, un droit de préemption inscrit pour une personne "xy".
Si maintenant la personne "xy" joue la carte du droit de préemption, c’est certes embêtant pour la partie "k", mais parfaitement légitime ; cela peut arriver. Même si la partie "xy" avait immédiatement exigé une compensation financière pour son droit de préemption, je considérerais cela comme une opération commerciale normale ; le terrain deviendrait certes plus cher et ce serait tout aussi embêtant pour la partie "k" ; mais chaque affaire a son prix.
Dans l’histoire réelle que je vous ai racontée, cependant, aucune décision compréhensible de la part de "xy" n’est visible. Au lieu de choisir entre "jouer la carte ou compensation", le bénéficiaire du droit de préemption sort une alternative "c" de son chapeau. La question de savoir pourquoi il agit ainsi ne peut jusqu’à présent pas être répondue.
À ma connaissance, la partie "k" ne doit pas non plus se préoccuper de ce que "xy" fait avec le terrain s’il veut exercer son droit de préemption ; je tiens à rappeler que "xy" est solvable. À quoi donc sert l’offre écrite des 3 options à la partie "k" ? Je maintiens qu’il s’agit avant tout d’une proposition immorale. Une bonne affaire est toujours celle où tous les participants doivent un peu lâcher du lest. Actuellement, 2 sur 3 sont plutôt plumés.
Contrairement à l’avis de voki, je ne pense pas non plus qu’un achat comme investissement par "xy" sera rentable ; en tout cas pas si _seulement_ une maison jumelée complète est construite et ensuite louée ou vendue (une construction d’immeubles d’habitation à étages n’est pas autorisée du fait de l’emplacement du terrain). Le rendement attendu à la location est peu intéressant, à la revente après l’achèvement des travaux, imho, un jeu à somme nulle. Cette dernière raison est que toute l’opération, coûts inclus, reviendrait à environ un million d’euros. Ces jours-ci, beaucoup de choses sont possibles dans le secteur du logement, mais cela ne fait pas pour autant des miracles. Je ne nommerai pas l’emplacement exact du terrain – dans ce cas précis, il ne se trouve ni à Oberkassel, Stockum, Wittlaer ni Kaiserswerth, où cela pourrait _peut-être_ s’avérer rentable, si "xy" conservait l’investissement en capital _à long terme_ en vue.
Cordialement, expert en construction