L'impudence triomphe, litige relatif au droit de préemption dans le délai de réflexion

  • Erstellt am 20.04.2016 10:24:23

Bauexperte

20.04.2016 18:57:01
  • #1
Bonsoir,

Frank a bien reconnu que c’est - en tout cas - moralement discutable ; dans la vente privée de terrains, je ne connaissais cela jusqu’à présent pas.

Si nos clients laissent passer le temps, du temps s’écoule ; un temps qu’ils ne veulent plus investir - après des années de recherche d’un terrain approprié. Et - une offre, avec un contenu connu, est certes ennuyeuse, mais pas punissable ; le bénéficiaire du droit de préemption dispose des moyens pour concrétiser son annonce.

Situation actuelle : la vendeuse du terrain participe financièrement à l’offre immorale de son parent.

Cordialement, expert en construction
 

nightdancer

20.04.2016 22:31:32
  • #2
Pourquoi le titulaire du droit de préemption serait-il ici le bouc émissaire, cela ne m'apparaît pas. Le droit de préemption était pourtant connu. On ne devrait jamais se fier aux déclarations orales d'un vendeur, ce n'est pas une nouvelle découverte. En ce sens, je vois plutôt ici un conseil erroné donné à l'acheteur.
 

f-pNo

20.04.2016 23:27:39
  • #3


Il ne s'agit pas ici de l'exercice du droit de préemption inscrit. Si le titulaire du droit de préemption faisait valoir son droit, cela ne serait pas seulement légitime, mais aussi moralement acceptable. La troisième option – renoncer au droit de préemption en contrepartie du paiement d'une décote (ou, comme on disait autrefois à l'Église, « vente d’indulgences ») – est cependant moralement discutable. Il est douteux dans quelle mesure il a réellement un intérêt à l’acquisition ou même la possibilité (financière) de le faire. De toute évidence, le titulaire du droit de préemption cherche seulement à se faire une fortune sur cette affaire.
 

HilfeHilfe

21.04.2016 07:31:19
  • #4


Ceux qui ont beaucoup d’argent ont un très très très gros ÉGO. Ce n’est plus une question d’argent mais de flatter l’ÉGO pour montrer à quel point ils ont réussi à l’imposer à nouveau. C’est comme un jeu. Nous ne sommes pas des bonnes âmes et vivons dans l’abondance.

Ce genre de bêtises avec l’argent, les contrats, les contrats annulés, les limites et deux alphas qui sont des entrepreneurs, je le vois tous les jours chez mes voisins. Il y a des plaintes, des manœuvres et ce n’est plus une question d’argent. Bienvenue dans l’abondance.
 

nightdancer

21.04.2016 09:57:06
  • #5


Le droit de préemption a une valeur - le bénéficiaire pourrait lui-même acheter s'il le voulait (selon le TE), en ce sens je ne vois aucun problème dans le comportement du titulaire. Peut-être que le vendeur ne voulait pas vendre au parent ou demandait plus que maintenant ou que le titulaire doit être puni ou encore autre chose, nous ne savons rien des raisons sous-jacentes. Ces moralisations sont ridicules. Pour moi, c'est plutôt le conseil qui fait défaut ici.
 

ONeill

21.04.2016 10:05:50
  • #6
Je trouverais très intéressant de laisser faire les choses et de voir si la personne achète vraiment maintenant.
 
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