Climbee
27.12.2018 09:04:52
- #1
Comme l'éléphant, je ne suis pas non plus tout à fait sûr s'il existe ici un plan d'aménagement ou si l'on peut insérer selon le §34.
Pour le §34, vous pouvez tout à fait vous mettre sur la pointe des pieds et les chances de réussir sont plutôt bonnes. La seule restriction ici concerne les distances de recul. Insérer ne signifie pas nécessairement que vous devez adopter le même style que les constructions environnantes, mais que la manière de construire doit s’intégrer.
Donc, vous ne serez guère autorisé à construire un immeuble de plusieurs étages avec de nombreux appartements dans un quartier principalement composé de maisons individuelles, ni un bâtiment commercial dans une zone résidentielle, etc.
Beaucoup de conseillers municipaux ne sont pas conscients de cela ; ils échouent à cause de leur ignorance et sont convaincus que insérer signifie que la nouvelle maison doit ressembler à celles qui l'entourent. Mais ce n’est pas du tout vrai.
Si vous disposez de suffisamment d’espace et que les distances de recul prescrites le permettent, rien ne s’oppose à mon avis à une maison individuelle avec un mur pignon de 2 m. Même si le conseil municipal aimerait un style villageois souabe ou ce qu’il imagine sous ce terme (très souvent deux choses très différentes…).
Dans ce cas, mon bon conseil est : cherchez un architecte compétent et passez par l’autorité supérieure du bâtiment (généralement le LRA). L’architecte devrait avoir des relations avec cette autorité et être prêt à défendre la demande de permis de construire. On peut en retirer bien plus que ce que ce conseil municipal imagine dans ses rêves (alpins), tout en restant joliment dans les limites du §34.
La situation est évidemment différente s’il existe un plan d’aménagement en vigueur. Là, vous êtes beaucoup plus limités et les prescriptions concernant le mur pignon, la forme du toit, etc. sont bien contraignantes.
200 m² de plain-pied sont tout à fait possibles, mais nécessitent une bonne planification réfléchie. Éventuellement sous la forme d’un bungalow en L ou avec des parties décalées. Il existe de nombreuses possibilités intéressantes et belles. En général, un bungalow sera cependant plus cher que la même surface répartie sur deux étages.
Si l’on peut renoncer aux pentes de toit, je le ferais toujours. Le confort peut aussi être obtenu autrement et on n’a pas à autant se restreindre en aménageant.
Pour le §34, vous pouvez tout à fait vous mettre sur la pointe des pieds et les chances de réussir sont plutôt bonnes. La seule restriction ici concerne les distances de recul. Insérer ne signifie pas nécessairement que vous devez adopter le même style que les constructions environnantes, mais que la manière de construire doit s’intégrer.
Donc, vous ne serez guère autorisé à construire un immeuble de plusieurs étages avec de nombreux appartements dans un quartier principalement composé de maisons individuelles, ni un bâtiment commercial dans une zone résidentielle, etc.
Beaucoup de conseillers municipaux ne sont pas conscients de cela ; ils échouent à cause de leur ignorance et sont convaincus que insérer signifie que la nouvelle maison doit ressembler à celles qui l'entourent. Mais ce n’est pas du tout vrai.
Si vous disposez de suffisamment d’espace et que les distances de recul prescrites le permettent, rien ne s’oppose à mon avis à une maison individuelle avec un mur pignon de 2 m. Même si le conseil municipal aimerait un style villageois souabe ou ce qu’il imagine sous ce terme (très souvent deux choses très différentes…).
Dans ce cas, mon bon conseil est : cherchez un architecte compétent et passez par l’autorité supérieure du bâtiment (généralement le LRA). L’architecte devrait avoir des relations avec cette autorité et être prêt à défendre la demande de permis de construire. On peut en retirer bien plus que ce que ce conseil municipal imagine dans ses rêves (alpins), tout en restant joliment dans les limites du §34.
La situation est évidemment différente s’il existe un plan d’aménagement en vigueur. Là, vous êtes beaucoup plus limités et les prescriptions concernant le mur pignon, la forme du toit, etc. sont bien contraignantes.
200 m² de plain-pied sont tout à fait possibles, mais nécessitent une bonne planification réfléchie. Éventuellement sous la forme d’un bungalow en L ou avec des parties décalées. Il existe de nombreuses possibilités intéressantes et belles. En général, un bungalow sera cependant plus cher que la même surface répartie sur deux étages.
Si l’on peut renoncer aux pentes de toit, je le ferais toujours. Le confort peut aussi être obtenu autrement et on n’a pas à autant se restreindre en aménageant.