apokolok
13.08.2018 15:20:17
- #1
Maintenant, calmez-vous les gars.
Le financement est réalisable, même s’il n’est pas sans difficultés.
La raison en est tout simplement un capital propre solide.
Cela enlève la pression, même si le truc devait éclater après la période de taux fixe, eh bien il vend la baraque et c’est fini.
Bien sûr, ce n’est pas un financement confortable, mais le loyer d’un appartement de cinq pièces ne doit probablement pas être une vraie alternative non plus.
Je pars maintenant d’un montant de crédit de 360 000€.
Deux options
a) plus risquée et moins chère :
15 ans de taux fixe, 2,5 % d’amortissement, 1,6 % d’intérêt :
Mensualité de 1221 €, capital restant dû 207 891 €, coût des intérêts 67 671 €.
b) plus sûre et plus chère :
30 ans de taux fixe, 2 % d’amortissement, 2,33 % d’intérêt :
Mensualité de 1287 €, capital restant dû 49 852 €, coût des intérêts 153 172 €.
Avec a), tu spécules sur une forte inflation et des taux toujours bas, avec b) tu es assez sécurisé, le capital restant dû peut aussi être garanti à un prix avantageux dans 20 ans avec un petit plan d’épargne logement.
Si tu choisis a) et que les taux sont à 8 % dans 15 ans, eh bien tu vends. Les prix de l’immobilier vont sûrement baisser avec la hausse des taux, mais pas au point que tu ne t’en sortes pas au moins avec les mains propres, à mon avis il est plus probable que la valeur se maintienne ou augmente avec des taux modérément plus élevés.
Il serait éventuellement intéressant de savoir comment les revenus sont répartis. Une grande partie est-elle à toi ou à ta femme ?
Avez-vous encore de la famille qui pourrait aider en cas de besoin ?
Je me répète : ce n’est pas sans risque et il faut avoir une certaine confiance en soi et en l’évolution future, mais c’est faisable.
Ce qui compte au final, c’est sa propre appétence pour le risque.
Le financement est réalisable, même s’il n’est pas sans difficultés.
La raison en est tout simplement un capital propre solide.
Cela enlève la pression, même si le truc devait éclater après la période de taux fixe, eh bien il vend la baraque et c’est fini.
Bien sûr, ce n’est pas un financement confortable, mais le loyer d’un appartement de cinq pièces ne doit probablement pas être une vraie alternative non plus.
Je pars maintenant d’un montant de crédit de 360 000€.
Deux options
a) plus risquée et moins chère :
15 ans de taux fixe, 2,5 % d’amortissement, 1,6 % d’intérêt :
Mensualité de 1221 €, capital restant dû 207 891 €, coût des intérêts 67 671 €.
b) plus sûre et plus chère :
30 ans de taux fixe, 2 % d’amortissement, 2,33 % d’intérêt :
Mensualité de 1287 €, capital restant dû 49 852 €, coût des intérêts 153 172 €.
Avec a), tu spécules sur une forte inflation et des taux toujours bas, avec b) tu es assez sécurisé, le capital restant dû peut aussi être garanti à un prix avantageux dans 20 ans avec un petit plan d’épargne logement.
Si tu choisis a) et que les taux sont à 8 % dans 15 ans, eh bien tu vends. Les prix de l’immobilier vont sûrement baisser avec la hausse des taux, mais pas au point que tu ne t’en sortes pas au moins avec les mains propres, à mon avis il est plus probable que la valeur se maintienne ou augmente avec des taux modérément plus élevés.
Il serait éventuellement intéressant de savoir comment les revenus sont répartis. Une grande partie est-elle à toi ou à ta femme ?
Avez-vous encore de la famille qui pourrait aider en cas de besoin ?
Je me répète : ce n’est pas sans risque et il faut avoir une certaine confiance en soi et en l’évolution future, mais c’est faisable.
Ce qui compte au final, c’est sa propre appétence pour le risque.