Blanker Hans
20.01.2017 13:56:19
- #1
Bonjour cher forum de construction de maison,
ma femme et moi avons l’intention d’acheter une maison prochainement, pour laquelle nous avons déjà pris une décision émotionnelle dans une certaine mesure. Nous avons cherché très longtemps une maison / un terrain comme celui-ci. Toutefois, en cas de nécessité, nous devrons aussi accepter une situation difficile et renoncer à l’achat si nous ne pouvons pas résoudre notre problème actuel.
À propos du problème :
Nous avons déjà fait évaluer la maison et le terrain par un expert en bâtiment. Dans l’ensemble, le bilan a été positif pour nous. Cependant, à l’exception d’un cas : le toit et le grenier ne peuvent pas être inspectés. Il s’agit d’un toit à deux pans à faible inclinaison. La hauteur maximale du grenier est d’environ 1,20 m au centre, ce qui exclut d’emblée une utilisation polyvalente. Le propriétaire indique avoir entièrement cloisonné l’espace sous toiture pour cette raison. On ne peut donc plus y jeter un coup d’œil. Pour assurer la circulation de l’air dans le grenier, des fentes de ventilation ont été installées.
Pour aggraver la situation, il semblerait qu’il y ait eu il y a quelque temps un dégât des eaux à l’étage supérieur, dû à une fuite dans le toit. Selon le propriétaire, la fuite a été réparée.
L’expert en bâtiment n’a pas trouvé d’autres défauts majeurs dans la maison, mais nous a néanmoins déconseillé l’achat tant qu’on ne peut pas inspecter le grenier, car celui-ci pourrait éventuellement être dans un état catastrophique (champignon de la maison, etc.). Pour le moment, on ne peut au moins pas l’exclure.
Cependant, le propriétaire refuse d’ouvrir le grenier, car cela impliquerait, entre autres, de détruire partiellement le revêtement du plafond (en bois) à l’étage supérieur afin de dégager l’accès. Il ne serait pas indemnisé pour les dégâts si nous décidions ensuite de ne pas acheter.
En même temps, l’agent immobilier et le propriétaire exercent une pression temporelle à la vente. Par exemple, l’agent immobilier a répondu à notre demande de faire ouvrir le grenier qu’il doit désormais aussi penser à permettre la visite de la maison à d’autres personnes intéressées. C’est à mon avis une tactique psychologique douteuse qui déclenche chez nous toutes les alarmes.
Le dilemme est le suivant : si nous continuons à gagner du temps et essayons d’imposer l’ouverture du grenier, quelqu’un risque de nous prendre la maison. Mais si nous l’achetons maintenant, nous n’aurons probablement plus la possibilité de réclamer des dommages-intérêts en cas d’état catastrophique du grenier. Je suppose que tout juge argumenterait alors que nous n’aurions pas dû acheter la maison avec cette incertitude.
Y a-t-il une issue à ce dilemme ? Existe-t-il un moyen pour nous de nous protéger et, en cas de besoin, d’avoir un droit à des dommages-intérêts ?
Cordialement,
Blanker Hans
ma femme et moi avons l’intention d’acheter une maison prochainement, pour laquelle nous avons déjà pris une décision émotionnelle dans une certaine mesure. Nous avons cherché très longtemps une maison / un terrain comme celui-ci. Toutefois, en cas de nécessité, nous devrons aussi accepter une situation difficile et renoncer à l’achat si nous ne pouvons pas résoudre notre problème actuel.
À propos du problème :
Nous avons déjà fait évaluer la maison et le terrain par un expert en bâtiment. Dans l’ensemble, le bilan a été positif pour nous. Cependant, à l’exception d’un cas : le toit et le grenier ne peuvent pas être inspectés. Il s’agit d’un toit à deux pans à faible inclinaison. La hauteur maximale du grenier est d’environ 1,20 m au centre, ce qui exclut d’emblée une utilisation polyvalente. Le propriétaire indique avoir entièrement cloisonné l’espace sous toiture pour cette raison. On ne peut donc plus y jeter un coup d’œil. Pour assurer la circulation de l’air dans le grenier, des fentes de ventilation ont été installées.
Pour aggraver la situation, il semblerait qu’il y ait eu il y a quelque temps un dégât des eaux à l’étage supérieur, dû à une fuite dans le toit. Selon le propriétaire, la fuite a été réparée.
L’expert en bâtiment n’a pas trouvé d’autres défauts majeurs dans la maison, mais nous a néanmoins déconseillé l’achat tant qu’on ne peut pas inspecter le grenier, car celui-ci pourrait éventuellement être dans un état catastrophique (champignon de la maison, etc.). Pour le moment, on ne peut au moins pas l’exclure.
Cependant, le propriétaire refuse d’ouvrir le grenier, car cela impliquerait, entre autres, de détruire partiellement le revêtement du plafond (en bois) à l’étage supérieur afin de dégager l’accès. Il ne serait pas indemnisé pour les dégâts si nous décidions ensuite de ne pas acheter.
En même temps, l’agent immobilier et le propriétaire exercent une pression temporelle à la vente. Par exemple, l’agent immobilier a répondu à notre demande de faire ouvrir le grenier qu’il doit désormais aussi penser à permettre la visite de la maison à d’autres personnes intéressées. C’est à mon avis une tactique psychologique douteuse qui déclenche chez nous toutes les alarmes.
Le dilemme est le suivant : si nous continuons à gagner du temps et essayons d’imposer l’ouverture du grenier, quelqu’un risque de nous prendre la maison. Mais si nous l’achetons maintenant, nous n’aurons probablement plus la possibilité de réclamer des dommages-intérêts en cas d’état catastrophique du grenier. Je suppose que tout juge argumenterait alors que nous n’aurions pas dû acheter la maison avec cette incertitude.
Y a-t-il une issue à ce dilemme ? Existe-t-il un moyen pour nous de nous protéger et, en cas de besoin, d’avoir un droit à des dommages-intérêts ?
Cordialement,
Blanker Hans