matte
19.08.2021 08:18:04
- #1
Bonjour.
Situation suivante :
Nous avons reçu de mes parents un terrain à côté d’eux et avons construit dessus il y a déjà un certain temps.
À côté de nous se trouve un terrain en pente plus grand, que ma mère et ma tante ont vendu l’année dernière.
Dans le cadre de la vente, mes parents sont allés chez un avocat avec l’aide duquel le contrat d’achat a été élaboré.
La procédure a été la suivante : entre notre terrain et le terrain en pente, une bande de 3 m de large avec un numéro cadastral propre a été créée, qui doit servir de voie d’accès pour le desserrement du terrain en pente. Au bout de ce cul-de-sac se trouve ensuite le terrain de mes parents.
Sur cette voie d’accès, un droit de passage piétonnier et véhiculaire ainsi qu’un droit de conduite ont été inscrits en faveur de mes parents et de nous par servitude foncière.
De plus, une interdiction de construire a été inscrite par servitude foncière, stipulant qu’une bande de 3 m de large sur le terrain en pente, parallèle à la voie d’accès, ne peut pas être construite, notamment dans la mesure où une construction mitoyenne serait autorisée. (Aucune construction mitoyenne ne doit donc être autorisée.)
Ainsi, nous voulions nous assurer que l’acheteur ne vienne pas trop près de nous.
Hier, j’ai reçu une lettre de la mairie m’informant que le permis de construire pour 3 maisons individuelles a été accordé (3MI est en principe acceptable pour nous).
Sur le plan de situation, j’ai alors remarqué que le maître d’ouvrage ne construit pas seulement la bande de 3 m sur le terrain en pente avec des abris voitures, mais qu’il a également prévu, pour la dernière maison, l’abri voiture à la fin de la voie d’accès.
Il se trouverait donc directement à notre limite, au lieu d’être à 6 m de distance (3 m voie d’accès + 3 m bande d’interdiction de construire).
Cela pose un problème beaucoup plus grave pour mes parents, car ils ne pourraient pas utiliser la voie d’accès avec leur droit de passage pour accéder à leur terrain. Leur terrain reste en principe accessible par leur propre entrée sur une autre rue, mais cela n’a pas d’importance.
Lors d’un appel téléphonique avec le responsable du dossier, on m’a dit que ce n’était pas la tâche du service de l’urbanisme de vérifier le respect des inscriptions au registre foncier. Leur mission est seulement de vérifier s’il existe éventuellement une servitude foncière, si une telle servitude est nécessaire pour la construction prévue. Si un maître d’ouvrage doit donc accéder par dessus un terrain privé, il est vérifié si cela est sécurisé par une servitude.
Même si je trouve un peu étrange que ce genre de choses ne soit pas vérifié par la mairie, nous devons maintenant réfléchir à la suite à donner.
Bien sûr, mes parents vont d’abord avoir une discussion avec l’acheteur, en même temps l’avocat sera de nouveau contacté pour qu’il puisse déjà examiner la situation.
Comment procéder en principe si la discussion avec l’acheteur ne mène pas à un accord ?
Il a signé le contrat et doit donc s’y tenir.
Sans vouloir insinuer quoi que ce soit à l’acheteur, il m’est très difficile de croire que cela soit arrivé par ignorance... ;)
Je serais très reconnaissant pour des conseils.
Cordialement
Situation suivante :
Nous avons reçu de mes parents un terrain à côté d’eux et avons construit dessus il y a déjà un certain temps.
À côté de nous se trouve un terrain en pente plus grand, que ma mère et ma tante ont vendu l’année dernière.
Dans le cadre de la vente, mes parents sont allés chez un avocat avec l’aide duquel le contrat d’achat a été élaboré.
La procédure a été la suivante : entre notre terrain et le terrain en pente, une bande de 3 m de large avec un numéro cadastral propre a été créée, qui doit servir de voie d’accès pour le desserrement du terrain en pente. Au bout de ce cul-de-sac se trouve ensuite le terrain de mes parents.
Sur cette voie d’accès, un droit de passage piétonnier et véhiculaire ainsi qu’un droit de conduite ont été inscrits en faveur de mes parents et de nous par servitude foncière.
De plus, une interdiction de construire a été inscrite par servitude foncière, stipulant qu’une bande de 3 m de large sur le terrain en pente, parallèle à la voie d’accès, ne peut pas être construite, notamment dans la mesure où une construction mitoyenne serait autorisée. (Aucune construction mitoyenne ne doit donc être autorisée.)
Ainsi, nous voulions nous assurer que l’acheteur ne vienne pas trop près de nous.
Hier, j’ai reçu une lettre de la mairie m’informant que le permis de construire pour 3 maisons individuelles a été accordé (3MI est en principe acceptable pour nous).
Sur le plan de situation, j’ai alors remarqué que le maître d’ouvrage ne construit pas seulement la bande de 3 m sur le terrain en pente avec des abris voitures, mais qu’il a également prévu, pour la dernière maison, l’abri voiture à la fin de la voie d’accès.
Il se trouverait donc directement à notre limite, au lieu d’être à 6 m de distance (3 m voie d’accès + 3 m bande d’interdiction de construire).
Cela pose un problème beaucoup plus grave pour mes parents, car ils ne pourraient pas utiliser la voie d’accès avec leur droit de passage pour accéder à leur terrain. Leur terrain reste en principe accessible par leur propre entrée sur une autre rue, mais cela n’a pas d’importance.
Lors d’un appel téléphonique avec le responsable du dossier, on m’a dit que ce n’était pas la tâche du service de l’urbanisme de vérifier le respect des inscriptions au registre foncier. Leur mission est seulement de vérifier s’il existe éventuellement une servitude foncière, si une telle servitude est nécessaire pour la construction prévue. Si un maître d’ouvrage doit donc accéder par dessus un terrain privé, il est vérifié si cela est sécurisé par une servitude.
Même si je trouve un peu étrange que ce genre de choses ne soit pas vérifié par la mairie, nous devons maintenant réfléchir à la suite à donner.
Bien sûr, mes parents vont d’abord avoir une discussion avec l’acheteur, en même temps l’avocat sera de nouveau contacté pour qu’il puisse déjà examiner la situation.
Comment procéder en principe si la discussion avec l’acheteur ne mène pas à un accord ?
Il a signé le contrat et doit donc s’y tenir.
Sans vouloir insinuer quoi que ce soit à l’acheteur, il m’est très difficile de croire que cela soit arrivé par ignorance... ;)
Je serais très reconnaissant pour des conseils.
Cordialement