Danton
19.05.2009 17:57:21
- #1
Bonjour Melanie,
Les coûts supplémentaires pour une "cuve blanche" dépendent de plusieurs facteurs : la taille (surface au sol, hauteur des étages ou des murs en béton armé) du sous-sol, un plan simple ou un plan complexe, etc. Mais pour une maison individuelle normale, les coûts supplémentaires par rapport à un sous-sol en maçonnerie seraient estimés entre 5 000 et 10 000 €.
Si la nappe phréatique se trouve environ à 0,75 m sous le niveau du sol, il faut bien sûr accorder une attention particulière à l'exécution soignée de la cuve. Un éventuel accès extérieur au sous-sol doit bien entendu être intégré dans la cuve. Pour les puits de lumière devant les fenêtres du sous-sol, il faut également veiller impérativement à leur étanchéité, car sinon l'eau souterraine pourrait pénétrer par les fenêtres du sous-sol. Si nécessaire, ils doivent également être réalisés en béton étanche. L'évacuation ne doit pas se terminer comme d'habitude dans le drainage, mais doit être conduite par une canalisation étanche séparée.
J'ai déjà eu un cas similaire dans une maison de vacances au bord de l'Alfsee. Là, la nappe phréatique atteignait parfois juste en dessous de la pelouse.
Dans de telles conditions de nappe phréatique, je réfléchirais à faire sortir la maison suffisamment du sol ou à renoncer au sous-sol pour construire à la place une plus grande pièce de rangement près du garage/auvent, à condition que la taille du terrain le permette. Si on construit sans sous-sol, les fondations doivent être dimensionnées assez grandes pour la raison suivante : si un jour le niveau de la nappe phréatique baisse temporairement ou durablement, l'absence de contre-pression pourrait sinon provoquer des tassements accrus et des fissures.
J’espère que mes explications pourront t’aider un peu.
Les coûts supplémentaires pour une "cuve blanche" dépendent de plusieurs facteurs : la taille (surface au sol, hauteur des étages ou des murs en béton armé) du sous-sol, un plan simple ou un plan complexe, etc. Mais pour une maison individuelle normale, les coûts supplémentaires par rapport à un sous-sol en maçonnerie seraient estimés entre 5 000 et 10 000 €.
Si la nappe phréatique se trouve environ à 0,75 m sous le niveau du sol, il faut bien sûr accorder une attention particulière à l'exécution soignée de la cuve. Un éventuel accès extérieur au sous-sol doit bien entendu être intégré dans la cuve. Pour les puits de lumière devant les fenêtres du sous-sol, il faut également veiller impérativement à leur étanchéité, car sinon l'eau souterraine pourrait pénétrer par les fenêtres du sous-sol. Si nécessaire, ils doivent également être réalisés en béton étanche. L'évacuation ne doit pas se terminer comme d'habitude dans le drainage, mais doit être conduite par une canalisation étanche séparée.
J'ai déjà eu un cas similaire dans une maison de vacances au bord de l'Alfsee. Là, la nappe phréatique atteignait parfois juste en dessous de la pelouse.
Dans de telles conditions de nappe phréatique, je réfléchirais à faire sortir la maison suffisamment du sol ou à renoncer au sous-sol pour construire à la place une plus grande pièce de rangement près du garage/auvent, à condition que la taille du terrain le permette. Si on construit sans sous-sol, les fondations doivent être dimensionnées assez grandes pour la raison suivante : si un jour le niveau de la nappe phréatique baisse temporairement ou durablement, l'absence de contre-pression pourrait sinon provoquer des tassements accrus et des fissures.
J’espère que mes explications pourront t’aider un peu.