Bonjour "faddl92".
En tant que profane en technique, il faut reconnaître le moment où un professionnel doit monter sur scène, qui examinera la situation et l’évaluera correctement.
En principe, ta démarche jusqu’à présent, de ce que je vois, était choisie à juste titre !
Un entrepreneur installe quelque chose, tu critiques la réalisation et accordes une rectification, ce qui, dans ce cas, concerne un recouvrement visible et faible du chauffage au sol des éléments chauffants sous la chape.
Je ne peux pas juger à distance si la rectification maintenant effectuée est suffisante et si l’état actuel peut être accepté.
Mais si la pression de la chaudière du système de chauffage diminue constamment et que la chape dans la zone rectifiée se révèle humide (ce qui peut être détecté avec des appareils de mesure simples), alors tu devrais effectivement demander une autre aide professionnelle.
Un avocat, comme l’a recommandé " ", ne se révélera (selon mon expérience de plusieurs années) pas utile du moins en phase initiale, car cette profession se présente souvent plus comme un "problème" indépendant et ne peut pas apporter de contribution aux solutions techniques.
[Remarque : la collaboration entre juriste/technicien est toujours idéale]
La bonne démarche aurait donc été, avant la situation initiale que tu as décrite, comme déjà recommandé ailleurs, de faire appel à un expert du corps de métier concerné (chape ou technologie du plancher chauffant).
Dans ce contexte, cet expert doit également vérifier si l’endroit réparé (ou mal réparé ?) était le seul dans l’ensemble de la surface ou s’il faut supposer une couverture insuffisante pertinente.
Cela signifie : vérifier la couverture de la chape sur toute la surface !
Ma recommandation supplémentaire serait d’informer les responsables (par exemple le maître d’œuvre général) du rendez-vous de l’expert et de les inviter également. Conseil : si l’expert s’en charge, cela mettra habituellement la pression nécessaire sur les parties !
Bien, cela requiert donc aussi un expert qui connaît son métier et qui, sous la pression (souvent sur place de demi-vérités exprimées), ne "plie pas", connaît et maîtrise les règles techniques.
En résumé
Le point est atteint, selon moi, où le plaisir s’arrête.
Si cela se confirme effectivement que la chape n’est pas porteuse en raison d’un recouvrement insuffisant, il faut non seulement effectuer des vérifications (et prendre des décisions) qui seront ensuite valables devant un tribunal, mais tout doit aussi être documenté en conséquence !
Par une prise de preuve privée, mais plus tard également recevable en justice, le retard dans le déroulement des travaux peut être réduit au minimum.
Sinon, il faut (actuellement estimé) attendre environ 1,5 an jusqu’à ce qu’un tribunal, après d’interminables échanges écrits d’avocats, désigne un expert qui, peut-être plusieurs mois plus tard, aura le temps d’examiner l’objet, puis rédigera le rapport après plusieurs semaines supplémentaires.
Les déclarations contenues dans ce rapport sont bien sûr, comme le montre la pratique, remises en question, il y a d’interminables demandes de renseignements par le tribunal.
On estime que l’état actuel de ton objet restera ainsi pendant les 2 à 3 prochaines années.
Une prise de preuve privée par un expert (impérativement assermenté publiquement) permet d’économiser beaucoup de temps – et certainement de l’argent.
Même si le collègue ne travaillera pas gratuitement :)
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Une bonne décision te souhaite : KlaRa