Nous avons également prévu dès le départ d'installer des panneaux photovoltaïques et une batterie de stockage dans notre nouvelle construction. Cela s’accorde en principe bien avec la pompe à chaleur et j’espérais des aides financières.
Mais comme le photovoltaïque ne représente pas un gain de confort, j’ai calculé cela comme un investissement normal. Et il est rapidement devenu clair que la batterie de stockage ne sera jamais amortie et que le photovoltaïque (avec des coûts d’entretien de 2 %, des frais pour le compteur électrique, une taxe sur l’autoconsommation, etc.) ne sera probablement rentable qu’au plus tôt après 18 ans, et seulement si l’onduleur « survit ». Si cet investissement est financé par un prêt immobilier, la situation paraît très sombre.
Le calcul dépend bien sûr du prix de l’électricité, de l’autoconsommation (taxe !) et de la rémunération de l’injection. Le fait est que les prix de l’électricité à la bourse sont très bas et ne devraient pas atteindre les anciens niveaux dans les dix prochaines années. Les prix à la consommation sont principalement tirés par les taxes. Sur ce point, la politique a également orienté les décisions vers un plafonnement de la loi sur les énergies renouvelables. C’est-à-dire que les taxes augmenteront encore à court terme, mais probablement plus à moyen terme.
Petit complément : j’ai finalement posé 2 fois 40 conduits sur le toit, afin de pouvoir éventuellement les équiper dans 10 ans. Selon moi, les conduits vides ont aussi du sens pour le garage.