ou bien il est noté sur le mur pignon que celui-ci ne doit mesurer que 80 cm et non 100 cm de hauteur, et ensuite le plan d'aménagement est approuvé ?
Je ne le crois pas vraiment. Cela modifie en effet un peu les volumes / les calculs des besoins en chaleur. Et en général, on préférera adapter la pente du toit plutôt que d'avoir simplement 20 cm de hauteur en moins de manière linéaire dans la zone en pente.
Donc je ne veux pas perdre inutilement du temps à faire plusieurs essais.
Je commencerais donc par appeler : pour un "oui", cette démarche est certes trop peu contraignante, mais un "non" au sens de "c’est une question de principe, nous définissons l’aspect franconien du bâtiment via le paramètre du midi-mur pignon" devrait aussi pouvoir être dit clairement à l’oral.
Ce dernier est en effet une raison fréquente pour fixer cette hauteur de mur pignon – notamment là où on ne chipote pas trop sur la hauteur de faîte, donc apparemment il s’agit moins du volume bâti que du mur pignon lui-même, que l’on souhaite ainsi limiter.
Cette limitation est alors volontiers considérée comme un facteur folklorique architectural central ;-)