Firef4rt
07.11.2012 11:48:04
- #1
Bonjour,
Après avoir un peu cherché sur ce forum, j’en suis venu à la conclusion de vous exposer directement ma situation.
Nous, ma femme et moi, pouvons acheter la maison familiale de son père, ou bien dissoudre la communauté d’héritiers.
Le bien en question est une maison individuelle de 190 m² habitables, construite en 1926, nécessitant des travaux de rénovation. Une grange en bon état où sont entreposés les équipements de viticulture. Attenante à cette grange, un appartement dans l’ancienne réserve à fruits. Datant d’environ 1970, 70 m² habitables, pas besoin de travaux urgents.
Le tout sur un terrain de 2000 m² (20 m x 100 m), dont 800 m² sont constructibles (170 euros/m²), le reste est jardin.
Le bien a été estimé il y a quelques années à 210 000 euros.
Si nous avons de la chance, nous pourrons tout acquérir pour 120 000 euros.
L’envergure des travaux de rénovation sera d’environ 120 000 euros (chauffage, électricité, eau, isolation et aménagement du toit, remplacement complet des fenêtres, éventuellement isolation extérieure, légère modification du plan). Aucun architecte n’a encore fait ce chiffrage. Cela est à venir après l’entretien avec la banque et la prochaine réunion avec la communauté d’héritiers. Certains travaux seront aussi réalisés en auto-construction.
Voici donc les postes suivants :
120 000 euros maison et terrain
120 000 euros rénovation prévue
20 000 euros crédit existant
15 000 euros nouvelle cuisine
Cela fait un besoin de financement de 275 000 euros.
Pas d’apport personnel en soi. Seulement la différence entre le prix d’achat et la valeur immobilière, ainsi qu’un contrat d’épargne-logement partiellement épargné de 50 000 euros, avec encore 5 ans avant l’attribution.
S’ajouteraient des aides Kfw de 50 000 euros plus une éventuelle participation au crédit pour les coûts de rénovation si les conditions sont remplies.
Remboursement possible mensuel de 1000 euros (500 euros crédit existant + 500 euros loyer actuel sans charges). Nous ne souhaitons toutefois en affecter que 800 euros pour pouvoir mettre de côté 200 euros mensuels en plus. Le tout complété par des versements exceptionnels lorsque ma femme retravaillera.
Cela vous paraît-il « réalisable » ou un « château en Espagne » ?
Une construction neuve serait encore plus chère pour nous, d’où la décision pour un bien ancien. Il y a aussi le facteur émotionnel, car la propriété ne sera ni vendue ni laissée à l’abandon.
Cordialement, Sven
Après avoir un peu cherché sur ce forum, j’en suis venu à la conclusion de vous exposer directement ma situation.
Nous, ma femme et moi, pouvons acheter la maison familiale de son père, ou bien dissoudre la communauté d’héritiers.
Le bien en question est une maison individuelle de 190 m² habitables, construite en 1926, nécessitant des travaux de rénovation. Une grange en bon état où sont entreposés les équipements de viticulture. Attenante à cette grange, un appartement dans l’ancienne réserve à fruits. Datant d’environ 1970, 70 m² habitables, pas besoin de travaux urgents.
Le tout sur un terrain de 2000 m² (20 m x 100 m), dont 800 m² sont constructibles (170 euros/m²), le reste est jardin.
Le bien a été estimé il y a quelques années à 210 000 euros.
Si nous avons de la chance, nous pourrons tout acquérir pour 120 000 euros.
L’envergure des travaux de rénovation sera d’environ 120 000 euros (chauffage, électricité, eau, isolation et aménagement du toit, remplacement complet des fenêtres, éventuellement isolation extérieure, légère modification du plan). Aucun architecte n’a encore fait ce chiffrage. Cela est à venir après l’entretien avec la banque et la prochaine réunion avec la communauté d’héritiers. Certains travaux seront aussi réalisés en auto-construction.
Voici donc les postes suivants :
120 000 euros maison et terrain
120 000 euros rénovation prévue
20 000 euros crédit existant
15 000 euros nouvelle cuisine
Cela fait un besoin de financement de 275 000 euros.
Pas d’apport personnel en soi. Seulement la différence entre le prix d’achat et la valeur immobilière, ainsi qu’un contrat d’épargne-logement partiellement épargné de 50 000 euros, avec encore 5 ans avant l’attribution.
S’ajouteraient des aides Kfw de 50 000 euros plus une éventuelle participation au crédit pour les coûts de rénovation si les conditions sont remplies.
Remboursement possible mensuel de 1000 euros (500 euros crédit existant + 500 euros loyer actuel sans charges). Nous ne souhaitons toutefois en affecter que 800 euros pour pouvoir mettre de côté 200 euros mensuels en plus. Le tout complété par des versements exceptionnels lorsque ma femme retravaillera.
Cela vous paraît-il « réalisable » ou un « château en Espagne » ?
Une construction neuve serait encore plus chère pour nous, d’où la décision pour un bien ancien. Il y a aussi le facteur émotionnel, car la propriété ne sera ni vendue ni laissée à l’abandon.
Cordialement, Sven