ypg
25.05.2022 15:13:21
- #1
Moi encore à propos de la contamination :
À mon avis, tu ne peux pas te protéger.
On peut certes écrire beaucoup dans un acte notarié, mais il faut que ce soit défini. Or, sans avoir préalablement réalisé une expertise, il n’y a aucune valeur compréhensible.
Où veux-tu fixer la limite ? Un peu contaminé, très contaminé ? Donc à partir d’une certaine valeur ou d’une autre ? Est-ce contaminé dans un coin ou à plusieurs endroits ? … est-ce vraiment le pétrole des réservoirs du défunt ou bien est-ce le pétrole charrié mentionné par ?
En principe, c’est précisément pour cela qu’il y a les études de sol : soit le vendeur les propose comme un service (pour que quelqu’un achète), soit l’acheteur organise lui-même une étude avant l’achat (pour se protéger) ou il l’organise après l’achat, pour pouvoir construire tranquillement et proprement sur un bon terrain.
Au final, un achat irréfléchi de chaque terrain serait alors possible si l’on procédait ainsi. Selon moi, ce genre de chose n’est valable qu’en cas de tromperie et de mensonge. Pour cela, une telle clause n’est alors pas nécessaire non plus. Le service d’un notaire ne devrait pas être surchargé à cet égard.
Mais tu peux bien sûr essayer et faire un retour après. Je pars du principe que la communauté successorale se tournera alors vers les autres intéressés et vendra finalement à celui qui ne pose pas de problème.
C’est pourquoi mon idée était de négocier une clause de résiliation avec le vendeur dans le contrat d’achat. Une contamination du sol découverte ultérieurement devrait y être mentionnée comme un cas.
Qu’en pensez-vous ? Est-ce courant et réaliste ?
Nous avons déjà reçu l'accord. Pourtant, je souhaite me prémunir contre une telle caractéristique imprévisible du terrain, car cela pourrait bien sûr réduire sa valeur.
Je veux éviter que, pour ce volume énorme, d’autres coûts imprévus apparaissent encore.
À mon avis, tu ne peux pas te protéger.
On peut certes écrire beaucoup dans un acte notarié, mais il faut que ce soit défini. Or, sans avoir préalablement réalisé une expertise, il n’y a aucune valeur compréhensible.
Où veux-tu fixer la limite ? Un peu contaminé, très contaminé ? Donc à partir d’une certaine valeur ou d’une autre ? Est-ce contaminé dans un coin ou à plusieurs endroits ? … est-ce vraiment le pétrole des réservoirs du défunt ou bien est-ce le pétrole charrié mentionné par ?
En principe, c’est précisément pour cela qu’il y a les études de sol : soit le vendeur les propose comme un service (pour que quelqu’un achète), soit l’acheteur organise lui-même une étude avant l’achat (pour se protéger) ou il l’organise après l’achat, pour pouvoir construire tranquillement et proprement sur un bon terrain.
Au final, un achat irréfléchi de chaque terrain serait alors possible si l’on procédait ainsi. Selon moi, ce genre de chose n’est valable qu’en cas de tromperie et de mensonge. Pour cela, une telle clause n’est alors pas nécessaire non plus. Le service d’un notaire ne devrait pas être surchargé à cet égard.
Mais tu peux bien sûr essayer et faire un retour après. Je pars du principe que la communauté successorale se tournera alors vers les autres intéressés et vendra finalement à celui qui ne pose pas de problème.