Je réponds en un seul paquet, car mon message avec une multitude de citations remplirait à lui seul presque une page ;-)
Si quelqu'un trouve agréable d'être séparé de son voisin dans sa propre situation d'accès/entrée, je souligne bien sûr qu'une entrée/sortie de parking souterrain a un impact bien plus important. Malheureusement, le plan d'urbanisme ne précise pas où le parking souterrain doit avoir son entrée/sortie.
Je donne volontiers aux lecteurs intéressés par une moitié de maison jumelée désaxée le conseil que, grâce à , nous avons ici un exemple d’une maison jumelée dizygote à disposition. Toutefois, je recommande plutôt au posteur original de s’abstenir de cette offre de terrain, car la description de ses souhaits de maison, à mon avis, est pratiquement incompatible avec les possibilités aménageables ici, ou du moins dépassera la limite de compromis acceptable.
Entre autres, le plan d’urbanisme stipule ici que la maison doit soit devenir à deux étages uniquement par son grenier, soit être à deux étages dans le sens d’une villa en mitoyenneté avec un comble plutôt modeste (DN II=I+D à partir de 34°, DN II=II jusqu’à 33°).
L’"identité de couverture" exigée entre les moitiés ne demande certes pas une ressemblance jumelle, mais dans l’ensemble, je m’attends à une, pour le dire gentiment, « forte dissonance » entre à peu près tout ce que le voisin standard pourrait imaginer pour sa moitié et les idées du posteur originel. Une orientation de ses moitiés déviant de 90° par rapport aux points cardinaux ne suffira pas à masquer cela. Que, en raison de l’accès en angle, le posteur puisse avoir dans la moitié 14 une maison avec un pignon côté rue, alors que le voisin dans la moitié 15 ait une maison avec un pignon côté faîte, et cela avec une même orientation technique de l’arête de toiture, me paraît toutefois possible – une égalité côté entrée n’est pas exigée ici. Une sorte d’œuf de Colomb salomonique en quelque sorte ;-)