Mottenhausen
09.12.2019 13:21:07
- #1
Les gars, laissez d'abord le TE s'habituer au sujet de la construction de maison. Il doit d'abord constater que même le standard le plus simple, aujourd'hui autorisé, ne représente déjà plus qu'une petite fraction des besoins énergétiques d'un bâtiment ancien. Chaque constructeur de maisons préfabriquées propose aujourd'hui à partir du catalogue aussi la catégorie KfW40+. Pour les standards KfW, le conseiller en énergie est de toute façon obligatoire. Donc la catégorie « coûte beaucoup plus que ce qu'elle économise » est déjà pré-projetée et « achetable à chaque coin de rue ».
Il n'y a donc absolument rien de particulier à traiter spécialement ou qui limiterait d'une quelconque manière le choix du constructeur.
Tout ce qui dépasse KfW40+ n'est alors plus que pour les maîtres d'ouvrage « l'argent ne compte pas ».
Donc recommandation pour le futur maître d'ouvrage : mieux vaut d'abord clarifier les questions : quelles pièces, quelle taille, lieu de construction, exigences administratives, équipement de confort, plan et BUDGET. Ensuite, on peut réfléchir dans ce cadre aux aspects énergétiques et intégrer des solutions raisonnables. D'expérience, le budget limite toute ambition au-delà de KfW55. Personne ne prend volontairement un crédit de 100 000 € de plus pour économiser encore 2500 € par an en énergie. Ça ne vaut pas le coup.
Il n'y a donc absolument rien de particulier à traiter spécialement ou qui limiterait d'une quelconque manière le choix du constructeur.
Tout ce qui dépasse KfW40+ n'est alors plus que pour les maîtres d'ouvrage « l'argent ne compte pas ».
Donc recommandation pour le futur maître d'ouvrage : mieux vaut d'abord clarifier les questions : quelles pièces, quelle taille, lieu de construction, exigences administratives, équipement de confort, plan et BUDGET. Ensuite, on peut réfléchir dans ce cadre aux aspects énergétiques et intégrer des solutions raisonnables. D'expérience, le budget limite toute ambition au-delà de KfW55. Personne ne prend volontairement un crédit de 100 000 € de plus pour économiser encore 2500 € par an en énergie. Ça ne vaut pas le coup.