Häuslebauer40
30.09.2011 08:24:12
- #1
632a aurait trouvé une reconnaissance appropriée dans le lien.
Expert en construction, il ne s'agit pas pour moi de savoir si le plan de paiement présenté est favorable au maître d'ouvrage ou non (ce que je ne pense d'ailleurs pas du tout), mais bien que soit clairement et distinctement exposé que l'entrepreneur général doit avancer les frais, sauf accord contraire pris d'un commun accord.
Pour reprendre plus en détail tes propos :
La manière dont l'entrepreneur général gère cela n'est pas l'affaire du ou des maîtres d'ouvrage. S'il lui manque de la liquidité et/ou que cela lui semble trop risqué, il doit soit se contenter de moins de chantiers, soit, comme je l'ai déjà dit, arrêter complètement. Il n'existe pas d'entreprise sans risque.
Et concernant les épées de Damoclès, la part de celles qui pèsent au-dessus des maîtres d'ouvrage privés, sous forme d'une éventuelle insolvabilité de l'entrepreneur général, est probablement bien plus élevée.
Sans préjudice du fait que l'entrepreneur général court peu ou pas de risque avec des maîtres d'ouvrage privés, les projets privés sont en règle générale garantis par un prêt bancaire. Et il ne manque en aucun cas aux entrepreneurs généraux de garanties correspondantes (engagement de financement / caution bancaire / cession).
Cela peut peut-être être différent pour des projets commandés par des entreprises ou des copropriétés.
Quant aux « clients qui ne paient pas », les entrepreneurs du bâtiment doivent maintenant commencer à accepter que même les maîtres d’ouvrage privés, qui généralement ne savent pas grand-chose ou rien du tout, sont désormais sensibilisés par les médias, Internet, la littérature, etc., et attendent une exécution soignée de l’ouvrage. Cela devrait être la règle et non l’exception.
En d’autres termes : si l’ouvrage est réalisé conformément aux règles de l’art reconnues et livré sans défaut, l’entrepreneur du bâtiment n’a pas à craindre pour son argent.
Concernant le retrait du lien… eh bien… l’argumentation est non seulement bancale, elle est carrément en fauteuil roulant…
Je doute que Google ou un autre moteur de recherche demande la permission au propriétaire du site web avant de le lier…
Mais bon, ce n’est pas un problème. Voici le mode d’emploi pour retrouver la page :
1. Ouvrir Google
2. Entrer les termes de recherche « Bauunternehmen Vorleistungspflicht »
3. Ouvrir le deuxième résultat en partant du haut sur la première page (commence par : baurechttipps.....)
Cordialement
Martin
Expert en construction, il ne s'agit pas pour moi de savoir si le plan de paiement présenté est favorable au maître d'ouvrage ou non (ce que je ne pense d'ailleurs pas du tout), mais bien que soit clairement et distinctement exposé que l'entrepreneur général doit avancer les frais, sauf accord contraire pris d'un commun accord.
Pour reprendre plus en détail tes propos :
D'autre part, tu devrais réfléchir à la manière dont un entrepreneur général peut gérer plusieurs chantiers en même temps, quand il doit avancer jusqu'à 30 % du montant des travaux sur tous les chantiers – toujours avec l'épée de Damoclès d'un client qui ne paie pas dans la nuque ?
La manière dont l'entrepreneur général gère cela n'est pas l'affaire du ou des maîtres d'ouvrage. S'il lui manque de la liquidité et/ou que cela lui semble trop risqué, il doit soit se contenter de moins de chantiers, soit, comme je l'ai déjà dit, arrêter complètement. Il n'existe pas d'entreprise sans risque.
Et concernant les épées de Damoclès, la part de celles qui pèsent au-dessus des maîtres d'ouvrage privés, sous forme d'une éventuelle insolvabilité de l'entrepreneur général, est probablement bien plus élevée.
Sans préjudice du fait que l'entrepreneur général court peu ou pas de risque avec des maîtres d'ouvrage privés, les projets privés sont en règle générale garantis par un prêt bancaire. Et il ne manque en aucun cas aux entrepreneurs généraux de garanties correspondantes (engagement de financement / caution bancaire / cession).
Cela peut peut-être être différent pour des projets commandés par des entreprises ou des copropriétés.
Quant aux « clients qui ne paient pas », les entrepreneurs du bâtiment doivent maintenant commencer à accepter que même les maîtres d’ouvrage privés, qui généralement ne savent pas grand-chose ou rien du tout, sont désormais sensibilisés par les médias, Internet, la littérature, etc., et attendent une exécution soignée de l’ouvrage. Cela devrait être la règle et non l’exception.
En d’autres termes : si l’ouvrage est réalisé conformément aux règles de l’art reconnues et livré sans défaut, l’entrepreneur du bâtiment n’a pas à craindre pour son argent.
Concernant le retrait du lien… eh bien… l’argumentation est non seulement bancale, elle est carrément en fauteuil roulant…
Je doute que Google ou un autre moteur de recherche demande la permission au propriétaire du site web avant de le lier…
Mais bon, ce n’est pas un problème. Voici le mode d’emploi pour retrouver la page :
1. Ouvrir Google
2. Entrer les termes de recherche « Bauunternehmen Vorleistungspflicht »
3. Ouvrir le deuxième résultat en partant du haut sur la première page (commence par : baurechttipps.....)
Cordialement
Martin