Le grenier est-il toujours plus froid que le rez-de-chaussée ?

  • Erstellt am 06.03.2017 21:22:47

Bieber0815

24.03.2017 15:56:22
  • #1
Les températures de surface ne sont pas faciles à mesurer, les valeurs déterminées ici ne sont probablement pas fiables. La température d'aller et de retour devrait être plus facile à mesurer. Les débits au moins relatifs peuvent être mesurés à l'aide des flotteurs dans le répartiteur du circuit de chauffage.

Il va sans dire qu'il faut mesurer des états stationnaires, ce qui signifie dans ce cas qu'il faut attendre longtemps après un changement de réglage (et désactiver la régulation en fonction de la température extérieure, conduire "manuellement" à la place).
 

Peanuts74

26.03.2017 09:22:49
  • #2


Pourquoi la température de surface n'est-elle pas si facile à mesurer ?
 

Bieber0815

27.03.2017 09:14:26
  • #3
Lors de la mesure sans contact (méthodes par rayonnement), il faut connaître le coefficient d'émission (dépendant de la température) de la surface. S'il est faible, il y a une influence significative du rayonnement ambiant.

Avec des thermomètres posés ou collés, il y a toujours une rétroaction entre le corps à mesurer et le thermomètre (flux de chaleur).

Si l'on veut maintenant faire un bilan pour un chauffage par le sol, où il n’y a que quelques degrés de différence entre l’[approvisionnement] et le [retour] et que la mesure est réalisée par un profane (ou un artisan) en l’absence de physiciens expérimentés avec un appareil de mesure extrêmement coûteux, alors j’ai tendance à considérer les résultats de mesure (en vue de l’utilisation prévue) comme sans valeur.

Il est préférable de mesurer directement dans le milieu. C’est trivial tant qu’on peut accéder, et les températures déterminées sont alors très précises. L’incertitude qui reste concerne l’état du système (stationnaire ?).
 

Peanuts74

27.03.2017 10:45:41
  • #4
Ok, l’évaluation ou l’interprétation est alors quelque chose d’autre. Mais avec la caméra thermique, on devrait au moins pouvoir mesurer un delta de la température de surface, qui augmente l’[Vorlauf] de 5° ou plus. Si ensuite, même mesuré de manière amateur, avec la même « méthode de mesure » la température de surface ne change pas, cela devrait déjà susciter du scepticisme. Bien sûr, je ne sais pas non plus quelle valeur est bonne par exemple pour les cadres de fenêtres, le toit, etc., mais même un profane peut éventuellement détecter des fuites.
 

Knallkörper

27.03.2017 14:31:12
  • #5


Restons raisonnables. Il s’agit de mesurer si la température de surface change avec l’augmentation de la température d’aller. Pour cela, le coefficient d’émissivité n’a pas d’importance, et encore moins sa dépendance à la température. On colle un morceau de ruban isolant noir sur la surface et c’est tout. Et pour une mesure par contact, tu t’inquiètes de la précision à cause du flux thermique ? Entre la chape et par exemple un Pt100 ? Sérieusement ? Si j’étais 15 ans plus âgé, je demanderais : qu’arrive-t-il aux ingénieurs aujourd’hui, ne voient-ils plus que des obstacles ??? Appelles-tu au travail un « physicien expérimenté avec un appareil de mesure extrêmement coûteux » dès qu’il faut mesurer un petit truc ?
 

Peanuts74

27.03.2017 14:36:48
  • #6
Exactement, la bonne caméra enregistre encore pendant "longtemps" lorsque l'on a touché le sol avec la main seulement un court instant. Une différence de plus de 5 degrés de la température de départ devrait donc être perceptible pour tout novice. Dans quelle mesure la température de surface devrait alors changer n'est pas si facile à prédire, mais même pieds nus, on ressent la différence clairement...
 
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