L'autre partie semble te mettre beaucoup de pression. J'espère que tu tiens bon. As-tu quelqu'un dans ton foyer qui t'aide à faire valoir vos intérêts légitimes ? Ne te laisse pas non plus mettre la pression moralement, fixer des limites est important pour une bonne relation de voisinage. L'autre partie devrait plutôt présenter des excuses et des réparations, si tant est.
Oui, mon partenaire et ma famille soutiennent ma décision. Je connais en fait à peine le propriétaire, car il ne fait que louer la maison et n'y a jamais habité lui-même. Même la vente, nous l'avons apprise par les derniers locataires puis sur Internet, jamais par lui-même.
J'y ai encore réfléchi : selon moi, l'ancien propriétaire du terrain/maison voisin vous doit des remerciements car vous avez "toléré" sa violation de limite, même par ignorance, et il a peut-être même gagné de l'argent en offrant ainsi plus de mètres carrés habitables ou une meilleure valeur locative à ses locataires. (?)
Avec toutes les constructions illégales, presque le double de surface habitable et utile a été ajouté (carport, remise, agrandissement de pièce...). Ça ne nous concerne que sur une petite partie, le reste appartient aux autres voisins adjacents mais là, toutes les distances aux limites sont respectées.
Il y a sûrement eu pas mal de revenus locatifs supplémentaires ces dernières années...
Je reste donc sur l'idée de profiter de la vente du terrain/maison voisin pour mettre tout en ordre maintenant et agir conformément aux droits et lois. Ainsi vous serez en sécurité. Et si j'essaie de me mettre à la place de vos nouveaux voisins (qui sont ceux qui comptent, pas l'ancien voisin), je pense qu'ils devraient comprendre cela.
C'est vraiment l'occasion de tracer des limites claires maintenant. Les nouveaux voisins doivent régler cela avec le vendeur.
Toute cette histoire dure depuis fin janvier. J'avais rendu la demande sans signature. Puis elle est revenue à la mi-juin (!!!), disant qu'il devait sinon payer une amende, etc. etc.
Comme déjà mentionné, en juin j'ai demandé un courrier à la préfecture, sur lequel j'ai à nouveau attendu de bonnes 8 (!!!) semaines car l'architecte était en vacances.
Début août, un nouvel appel disant que ça presse et que je devais prendre plusieurs rendez-vous avec la préfecture...
Même maintenant, alors qu'ils savent que nous sommes en vacances et que j'ai dit que C'EST MOI! qui reprendrais contact si besoin, j'ai déjà un autre appel sur la boîte vocale.
Aucune idée combien d'espace il me reste sur la messagerie vocale
Bon, peu importe ! Les vacances se terminent la semaine prochaine et au prochain appel, de mon côté, l'affaire sera réglée.