J’ai donné mon avis honnête et mon opinion.
1) Exact, il n’est en effet pas prévu de porte. Elle ne tiendrait pas là. Et de plus, je trouve que le couloir est un espace perdu. Il y aura assez de place pour une petite penderie et un banc. L’espace suffira pour cela. La porte elle-même devrait être assez lumineuse grâce à la fenêtre et un grand élément en verre à côté de la porte au rez-de-chaussée. À l’étage, nous envisageons encore d’installer une fenêtre.
Mais cela ne me dérangerait pas non plus sans.
Si une porte « ne tient pas », il faut planifier pour que ça tienne. Pourquoi se compliquer la vie volontairement ? Nous n’avons pas de porte entre le couloir et le salon pour l’instant parce qu’il manque du métal. Après avoir cuisiné, on sent l’odeur dans le couloir à l’étage pendant une demi-journée. Simplement parce que la ventilation n’est pas conçue avec des zones de surpression, etc. Je ne peux que déconseiller cela.
Le sujet du bruit s’ajoute encore. Regarder un film le soir et les enfants doivent dormir ? Visiteurs et enfants au lit ? Ils entendent chaque mot. Le matin, le moulin à café attaque directement les tympans de tous les habitants.
2) L’espace que tu appelles affectueusement « appendice » dans la chambre était souhaité par nous. Nous avions aussi un plan où ce serait le bureau (à un autre endroit), mais cela rendait toutes les pièces à l’étage petites. Ainsi, j’ai une grande perspective et la pièce là-bas (8 m²) peut ensuite être séparée comme bureau. Avant cela, elle doit servir de coin sport. Un dressing ou autre serait bien sûr aussi possible.
Repartir avec une analyse claire des besoins et ne pas prétendre que des solutions de fortune sont belles. Si ça ne convient pas, l’appendice est aussi OK. Si vous avez besoin d’une pièce séparée, construisez-la. Comment envisages-tu le bureau à domicile si par exemple quelqu’un est malade et doit rester au lit ?
3) À ma connaissance, les murs intérieurs sont en béton cellulaire.
Ce serait pour moi inacceptable en principe.
4) Pas tout à fait, les coûts de la maison s’élèvent à 300 k + frais annexes, mais en fin de compte peu importe. C’est une somme énorme.
Je n’aurais aucune idée d’où pourrait aller la cheminée autrement pour qu’elle soit placée à un endroit pertinent au rez-de-chaussée. C’est mon problème. Le plan d’urbanisme stipule que la cheminée ne peut être placée que le long de l’axe médian du toit. (quelque chose concernant la hauteur maximale qui dépasse).
Alors cela doit être planifié correctement dans un concept spatial à tous les niveaux et non d’un haussement d’épaules en se disant que ça ira. C’est pour cela que l’on construit ! Si c’était une rénovation d’une maison ancienne des années 30, je comprendrais. Mais là, quand on a tous les leviers en main ?
5) Si ce cas devait se produire, je dirais à notre invité qu’il peut aussi aller chier à l’étage, volontiers. Il aura la paix aussi la deuxième fois à cause du piquant.
On ne met pas les toilettes à côté de la cuisinière. Point final. Il faut avoir des fétiches spéciaux, car il n’y a aucune raison objective ou subjective de le faire ou de l’autoriser. Et vous n’aimez donc probablement pas trop les gens non plus, n’est-ce pas ? Quand je dois me soulager chez des amis, je vais aux toilettes. Point. Je ne demande pas où c’est à l’étage quand c’est urgent. Cela va entraîner des situations désagréables qui peuvent être évitées très facilement maintenant.
En général, on ne pourra sûrement pas créer un plan qui relie tout parfaitement. C’est pour cela que j’ai dit aussi « pas de catastrophe ». Car on devra faire des compromis dans tous les cas.
Si c’est l’ambition, le résultat pourra sûrement être embellit en paroles. Continuez. Même pour seulement 300 k, on devrait avoir plus d’ambition selon moi.