Notre architecte planifie actuellement tout l’étage supérieur en construction sèche.
Au début, je pensais à des raccords sous pente de toit, mais si je me souviens bien, votre étage supérieur n’a pas de pente de toit. Cependant, de nombreux murs ne reposent pas sur des murs du rez-de-chaussée – cela pourrait-il être pour des raisons structurelles ?
Je vois peut-être un avantage à la construction sèche dans les économies possibles grâce au travail en propre.
Le concepteur a peut-être aussi pensé dans cette direction, car...
Quels sont les surcoûts d’un mur massif ?
... il ne faut pas penser seulement au matériau : monter des murs intérieurs correctement est, surtout avec les formats plus petits souvent utilisés, une affaire plus délicate. Cela coûte du temps, et celui de personnel expérimenté. Les cloisons sèches sont, comme tu le remarques toi-même avec ta réflexion sur le « travail en propre », beaucoup plus adaptées à l’emploi d’aides peu qualifiées. Le prix de la pierre est un sujet secondaire, bien que le bloc de béton cellulaire (qui évite d’intégrer les murs intérieurs dans les murs extérieurs) soit généralement assez cher dans le comparatif. D’autres points ont déjà été exposés par les prédécesseurs.
« Maçonner » ne signifie d’ailleurs pas forcément partout des murs d’un bloc et demi (17,5 cm) d’épaisseur ; on utilise aussi couramment des murs non porteurs d’un seul bloc (11,5 cm).