11ant
05.09.2024 15:46:00
- #1
Autant que le dommage réel. Donc au minimum le loyer et les intérêts pour la durée.
50 EUR/jour ouvrable est une compensation correcte, en cas de doute on ne l’obtient de toute façon pas.
Et si cela ne convient pas, il faut simplement négocier une pénalité de 10%... mais bien sûr avant(!) la conclusion du contrat...
Chaque maître d’ouvrage a là où il souffre le plus, d’où les différentes configurations de dommages. Et comme son nom l’indique, une pénalité doit aussi faire mal à l’entrepreneur. Cela rend sage de la fixer bien au-dessus de l’équivalent du dommage, comme un « supplément de transport augmenté ». Par ailleurs, une garantie de bonne fin ne la remplace pas. L’entrepreneur est déjà pénalisé par le fait de ne pas recevoir sa prochaine tranche de paiement déclenchée par l’avancement des travaux avant la réception / la réclamation traitée. Malheureusement, aujourd’hui beaucoup de maîtres d’ouvrage travaillent avec des entrepreneurs généraux (EG) qui sous-capitalisent les retardataires en reprise. : 10% de quoi exactement ?