Schnubbihh
07.08.2023 14:17:21
- #1
Bonjour chère communauté,
je suis en train de me pencher à nouveau sur un possible financement immobilier et je suis tombé sur quelques questions.
Contexte : Nous voyons à l'horizon 1 ou 2 occasions d'obtenir un terrain à bâtir.
Pour une construction neuve, nous aurions droit à deux crédits d'aide différents et devrions en plus contracter un prêt bancaire. En découlent les éléments suivants :
(1) KFW propriété résidentielle pour les familles (165k€, durée 35 ans, 0,97 % d’intérêts, jusqu’à 5 ans sans amortissement, fixation des intérêts pour 10 ans) ; les conditions correspondantes nous sont bien sûr connues
(2) IFB prêt à la propriété Hambourg, (150k€, amortissement min. 2,5 %, 2 % d’intérêts, 1 an sans amortissement, fixation des intérêts pour 15 ans)
(3) Prêt bancaire (env. 400k€, amortissement X %, env. 4 % d’intérêts, début immédiat de l’amortissement, fixation des intérêts sur X années)
Question 1 :
Comment le prêt bancaire devrait-il être idéalement structuré pour s’adapter au mieux à (1) et (2) ?
En particulier pour la fixation des intérêts du prêt bancaire, je me demande s’il faudrait la synchroniser avec celle des crédits d’aide.
Par exemple, je pourrais opter pour une fixation des intérêts sur 10 ans afin de refinancer ensemble le prêt bancaire + le prêt KFW (IFB est un prêt subordonné).
Ai-je raison de penser qu’une fixation des intérêts sur 20 ans serait moins pertinente ici, car je devrais alors refinancer chacun des éléments séparément à l’issue de la fixation des intérêts ? Ou cela constituerait-il justement un avantage, car ainsi je refinancerais un prêt partiel environ tous les 5 ans et réduirais dès lors un peu le risque de hausse des intérêts (ou la charge croissante qui en résulte) ?
Question 2 :
Ma démarche serait de rendre la durée (ou l’amortissement) des crédits d’aide aussi longue que possible et d’exploiter pleinement la période sans amortissement. Ainsi, la "charge" complète ne débuterait qu’à la 6e année et d’ici là, nos enfants seraient tous à l’école et mon épouse disposerait de nouveau d’un revenu (à temps partiel) prévisible, ce qui rendrait la charge nettement plus aisée à supporter pour nous.
Les détails du projet, revenus, dépenses, etc. ont été volontairement omis car ils ne doivent pas faire partie de la discussion.
Il s’agit plutôt de comprendre comment constituer et structurer au mieux un "portefeuille de prêts".
Je me réjouis de vos retours.
Meilleures salutations !
je suis en train de me pencher à nouveau sur un possible financement immobilier et je suis tombé sur quelques questions.
Contexte : Nous voyons à l'horizon 1 ou 2 occasions d'obtenir un terrain à bâtir.
Pour une construction neuve, nous aurions droit à deux crédits d'aide différents et devrions en plus contracter un prêt bancaire. En découlent les éléments suivants :
(1) KFW propriété résidentielle pour les familles (165k€, durée 35 ans, 0,97 % d’intérêts, jusqu’à 5 ans sans amortissement, fixation des intérêts pour 10 ans) ; les conditions correspondantes nous sont bien sûr connues
(2) IFB prêt à la propriété Hambourg, (150k€, amortissement min. 2,5 %, 2 % d’intérêts, 1 an sans amortissement, fixation des intérêts pour 15 ans)
(3) Prêt bancaire (env. 400k€, amortissement X %, env. 4 % d’intérêts, début immédiat de l’amortissement, fixation des intérêts sur X années)
Question 1 :
Comment le prêt bancaire devrait-il être idéalement structuré pour s’adapter au mieux à (1) et (2) ?
En particulier pour la fixation des intérêts du prêt bancaire, je me demande s’il faudrait la synchroniser avec celle des crédits d’aide.
Par exemple, je pourrais opter pour une fixation des intérêts sur 10 ans afin de refinancer ensemble le prêt bancaire + le prêt KFW (IFB est un prêt subordonné).
Ai-je raison de penser qu’une fixation des intérêts sur 20 ans serait moins pertinente ici, car je devrais alors refinancer chacun des éléments séparément à l’issue de la fixation des intérêts ? Ou cela constituerait-il justement un avantage, car ainsi je refinancerais un prêt partiel environ tous les 5 ans et réduirais dès lors un peu le risque de hausse des intérêts (ou la charge croissante qui en résulte) ?
Question 2 :
Ma démarche serait de rendre la durée (ou l’amortissement) des crédits d’aide aussi longue que possible et d’exploiter pleinement la période sans amortissement. Ainsi, la "charge" complète ne débuterait qu’à la 6e année et d’ici là, nos enfants seraient tous à l’école et mon épouse disposerait de nouveau d’un revenu (à temps partiel) prévisible, ce qui rendrait la charge nettement plus aisée à supporter pour nous.
Les détails du projet, revenus, dépenses, etc. ont été volontairement omis car ils ne doivent pas faire partie de la discussion.
Il s’agit plutôt de comprendre comment constituer et structurer au mieux un "portefeuille de prêts".
Je me réjouis de vos retours.
Meilleures salutations !