Yosan
19.12.2018 23:15:03
- #1
1) ils pourraient bien payer sans partenaire
2) les situations sont pourtant très claires
3) les partenaires n'ont rien apporté (le terrain venait de la famille des frères et sœurs)
Pourquoi la famille des frères et sœurs offrirait-elle quelque chose aux partenaires des enfants ? Je ne comprends pas.
Si ça dérange les partenaires, ils peuvent toujours louer un appartement et vivre séparément. Mais dans ce cas, ils paient le double et n'ont aucune vie de famille.
Dans ce cas, les femmes n'apportent rien et veulent (si c'est vraiment le cas) qu'on leur offre la moitié du terrain. Eh bien oui, c'est clair.
Si les partenaires veulent apparaître sur le titre de propriété, ce que je peux tout à fait comprendre et trouve également acceptable, ils doivent payer pour cela. Point final, Minimaus.
S'il y a encore des gens qui gèrent cela autrement, tant mieux pour les chercheurs d'or.
Mais après, il ne faut pas venir pleurer que le partenaire (qu'il soit homme ou femme) a causé le chaos et que tout est perdu.
Cela se passe alors sous le couvert de « Amour » et « Romantisme ».
C'est bizarre que cela vienne toujours d'une seule partie.
Si les partenaires aiment les frères et sœurs, pourquoi ne sont-ils jamais romantiques et ne prouvent-ils pas leur amour en payant la maison seuls ?
Ce serait une preuve d'amour et vraiment très romantique.
Vraiment amusant de voir comment ici les femmes et les chevaliers blancs s'émeuvent d’un partage logique...
Je ne sais pas où tu as pu lire que les partenaires veulent profiter des avantages sans contribution ni où quelqu’un l’aurait proposé ici.
Mais le salaire des frères ne suffira probablement pas pour le crédit nécessaire, donc les partenaires devront mettre la main à la pâte.
Quand des enfants entrent en jeu, ça devient de toute façon problématique si l’un doit rester à la maison ou travailler moins.
Honnêtement, je trouve peu judicieux de dire que la maison appartient uniquement aux frères, même s’ils ont payé seuls le crédit jusque-là. Avec un enfant, le calcul ne tient plus si la femme assure « gratuitement » que l’homme puisse continuer à payer sa (!) maison sans interruption.