Bonjour,
je ne trouve cela en aucun cas audacieux
Sigh, je l’avais presque craint, je n’ose pas demander ce que tu fais dans la vie :confused:
je pense que aucune interprétation contractuelle ne pourra aider ici, car la situation est claire.
Le mot « contrat » vient de « supporter » - tu as sûrement déjà entendu ou lu ça quelque part. Le contrat règle donc aussi la manière dont les problèmes – ici l’absence de bow-window – doivent être résolus. Il y a peut-être aussi des annexes au contrat où sont consignées des positions différentes de la VOB/du code de la construction, peut-être y a-t-il eu des échanges écrits, etc.
Ce que je trouve particulièrement pertinent dans ta réponse, c’est l’appel à « Krolock » pour qu’il intervienne de son propre chef dans la conception du contrat, en lui demandant
«de faire démolir la partie de la maison/toit et de bien la refaire ». Il semble que tu n’aies pas encore entendu que l’entrepreneur a un droit à faire corriger le manquement présumé dans certains délais, ni que aucun entrepreneur n’est à l’abri de faire des erreurs (ce sont des humains qui travaillent et les humains font des erreurs) mais que la maison individuelle doit simplement être
remise « sans défauts ».
Cette affirmation
« prise en charge des coûts, à répartir entre le planificateur et le gros œuvre » est aussi adorable. Le gros œuvre exécute les plans qu’on lui remet. Avant que tu ne t’occupes de reproches hâtifs, il faudrait d’abord clarifier où l’erreur est survenue : chez le planificateur ou chez le gros œuvre. Ce n’est que lorsqu’on n’aura pas pu obtenir d’accord au sens du contrat, de ses éventuelles annexes et certainement au sens de « Krolock », que des mesures ultérieures devraient être prises en étroite concertation avec un expert à consulter.
Tel que tu te présentes ici, je ne peux que te souhaiter qu’aucune erreur minimale ne survienne lors de ton chantier – ton tempérament bouillant, comme montré ici – va sûrement te mener dans « de sales draps ».
Cordialement