Le problème ici est la comparaison de pommes (avec glaçage au sucre) avec des poires (avec de la crème) - elle ne peut absolument pas être transparente.
Le mur prévu jusqu'à présent est "complet" dans le sens où il n'a pas besoin d'une autre couche de mur. Par conséquent, le fournisseur propose logiquement de ne pas envisager là une pleine couche de mur – ce qui serait en fait un "excès" – mais alternativement, au lieu de la couche d'aspect briques, de prendre une couche pleine de briques sur le mur complet, puis de la placer devant un mur à plusieurs couches.
Je remets en question cette mesure dans son intention et surtout dans son importance, si les maîtres d’ouvrage souhaitent manifestement seulement un effet visuel, pour lequel les briques coupées en tranches remplissent pleinement leur fonction qualitative. Voilà donc dans un premier temps sur la question partielle, si l'effort pour une "couche pleine de briques" est nécessaire ou même d'une quelconque meilleure qualité : les deux sont clairement "non", ni techniquement ni qualitativement requis.
La deuxième dimension de la question est de savoir s’il faut suivre la proposition d’alternative pour la construction du mur. Et ici, de manière atypique, on ne propose pas le même matériau de construction en plus faible épaisseur pour la couche de mur uniquement "côté intérieur", mais un changement de système complet vers une couche structurelle de mur de type "bloc en mousse isolante".
Mais c’est précisément un changement profond avec, de mon point de vue, trois inconvénients :
1. cela est excessivement complexe pour satisfaire le souhait, sans que cela en vaille la peine d’aucune manière ;
2. cela requiert pour les deux couches du mur du personnel ayant une expérience de pose complètement différente (et, selon mes attentes, ce n’est pas neutre pour la statique au sens où il faudrait recalculer celle-ci) ;
3. cela rend la comparaison difficilement évaluable de manière qualifiée par le maître d’ouvrage profane avec ses propres moyens.
En particulier, le point 3 serait pour moi l’argument déterminant de rejet, peu importe à quel point ce changement pourrait être approximativement neutre en termes de coûts.