Teemoe86
08.06.2020 13:51:25
- #1
Tu devrais peut-être encore fournir un travail personnel et prendre plaisir à cela, et en utilisant un collecteur en tranchée, tu obtiendras peut-être une pompe à chaleur eau glycolée/eau sans coût supplémentaire.
Je le vois aussi comme ça maintenant. Si on peut fournir un travail personnel (dans le meilleur des cas, creuser soi-même ou avoir quelqu'un qui le fait) et que l'on s'informe sur la manière dont il faut poser les choses, on peut poser soi-même les collecteurs en tranchée et ainsi apparemment même recevoir de l'argent grâce à la subvention de 35 %, contrairement à une pompe à chaleur air/eau qui ne serait pas subventionnée (bien qu'il existe aussi des pompes à chaleur air/eau qui atteignent désormais parfois les critères pour la subvention).
Le mieux est de faire planifier les deux options avec des exemples concrets. Surtout si on ne peut ou ne veut pas fournir de travail personnel pour la pose, ou si les collecteurs en tranchée ne conviennent pas du tout au terrain (espace, nature du sol…), cela coûtera probablement plus cher – ici, sur le forum, j'ai trouvé des prix pour un forage au lieu d'un collecteur en tranchée de 8 à 12 k€, afin de pouvoir utiliser une pompe à chaleur eau glycolée/eau.
En général, il faut aussi garder à l’esprit que l’on peut faire financer une grande partie des coûts d’une pompe à chaleur air/eau ou eau glycolée/eau en atteignant l’efficacité (coefficient de performance annuel >=4,5) avec 35 % par le BAFA. Cela peut aussi inclure l'unité centrale de ventilation (liée à la pompe à chaleur air/eau ou eau glycolée/eau) ainsi que tous les autres composants (coûts de main-d'œuvre, unité de contrôle de l’installation) nécessaires pour atteindre les valeurs d'efficacité énergétique.
Ici, il vaut mieux trouver une entreprise artisanale qui s’y connaît et qui peut calculer les différentes possibilités.
Depuis combien de temps habitez-vous là et vous avez vraiment une pompe à chaleur ? Je pense que cette pompe à chaleur ne fonctionne pas de manière optimale.
Dans ce cas, c’est gaz + solaire. La température standard en hiver est de 21 °C, quand on sait qu’on va prendre une douche le lendemain matin, on la monte un peu pour atteindre 22/23 °C. Comme j’ai écrit, cela n’a évidemment aucun sens si l’on ne fait plus que monter et baisser la température. La valeur que l’on souhaite avoir "en permanence" dans la salle de bain devrait être calculée dès le départ.