Rembourser les frais bancaires illégaux

  • Erstellt am 08.11.2014 22:44:59

schubert79

03.01.2015 19:09:35
  • #1
Moi non plus...
 

klblb

03.01.2015 20:23:55
  • #2

Je travaille professionnellement et personnellement depuis des décennies avec des banques dans leurs fonctions les plus diverses. Cela commence par les choses habituelles en tant que particulier (compte courant, placements), continue avec le commerce privé et professionnel de tous types de valeurs mobilières et marchés (pour la gestion de patrimoine) et enfin plusieurs aspects liés au crédit dans les domaines privé et professionnel. Bien sûr, tous les contacts n'ont pas été négatifs, mais dans l'ensemble, la méfiance est justifiée. Là où il était possible d'obtenir un avantage légalement acceptable mais moralement discutable, presque aucune banque ni aucun responsable bancaire ne s’est dérobé.

En plus du crédit mentionné ici, j’ai récemment eu de nouveau le classique sur la table : une femme âgée et aisée va voir un conseiller bancaire (DeuBa) et veut une stratégie d’investissement conservatrice. Elle fait confiance au type et il lui remplit le portefeuille des valeurs mobilières les plus folles. Il y avait constamment des réallocations inutiles pour facturer des frais. Bien sûr, elle a signé bêtement tout ce qu’il lui a présenté. Ce que certains conseillers bancaires font aux petits investisseurs se retrouve aussi chez les très grands, voir le scandale du Libor, pour ne citer qu’un exemple.
Enfin, à chacun son opinion.
 

toxicmolotof

03.01.2015 20:33:20
  • #3
Et je travaille depuis plus de 10 ans dans divers domaines des banques et j'ai découvert de très nombreux domaines des banques, de la caisse au conseil en passant par la gestion globale de la banque, même si ce n'est pas tous.

Je n'ai encore montré dans aucun domaine ces comportements moralement discutables.

C'est pourquoi je ne peux que te plaindre, car apparemment tu tombes toujours sur les mauvaises personnes.

Chez moi, ni toi ni cette personne n'auriez subi une telle chose. Dommage.
 

Voki1

04.01.2015 00:36:33
  • #4
C’est beaucoup plus facile. Les banques ont appliqué un prix forfaitaire pour les activités qu’elles exercent principalement à leur propre avantage. Il s’agit de la vérification de la solvabilité (faut-il accorder le crédit à cette personne - éviter les risques de défaut - avantage pour la banque) ; le traitement de la demande de crédit de manière technique (sans cela, un crédit ne peut de toute façon pas être géré au sein d’une banque - exigence de la banque) ; la rédaction des contrats (exigée par la loi, cela ne peut pas se faire autrement - exigence de la banque). Comme d’habitude, les frais ont été à nouveau répercutés (sans aucune possibilité de négociation) sur le client.

Les jugements sont factuellement corrects et logiquement compréhensibles. Le fait que la banque ait dressé une facture globale (incl. [Gebühre]) et était sûre que le respect de l’article 5 de l’ordonnance sur l’indication des prix (indication du taux annuel effectif global) était suffisamment transparent, c’est maintenant tout simplement faux. Le calcul des frais était donc illégal et doit être restitué conformément aux règles de l’enrichissement sans cause.

Mauvais pour la banque, bon pour les clients. En fin de compte, il faut dire qu’une suppression ou un refus de paiement des frais aurait généralement conduit à un refus de la demande de crédit. Par conséquent, les frais faisaient partie intégrante de l’obligation et cela a été clairement souligné.

À mon avis, c’est acceptable. Les banques doivent rendre leur politique tarifaire compréhensible et transparente. Ne pas répercuter de coûts sans explication précise et ne pas créer constamment de formulations et de structures nouvelles et complexes. ;-)
 

toxicmolotof

04.01.2015 01:15:24
  • #5
C'est encore des absurdités multipliées par 10. Bien sûr, on peut suivre cet argument.

Mais alors, que le prochain carreleur ne me facture ni colle à carrelage ni matériel de jointoiement. Car ce n'est pas dans mon intérêt d'utiliser cela, mais c'est uniquement dû à l'exécution correcte des [ARdT] et donc une exigence du carreleur.

De même, les frais de transfert de ma prochaine voiture. Le transport chez le concessionnaire est purement dans l'intérêt du concessionnaire, afin qu'il puisse me vendre et me remettre le véhicule. Même le retrait à l'usine de fabrication coûte des frais de transfert !

Par conséquent, quelques-uns ont maintenant un avantage que la totalité des clients doit en quelque sorte supporter. Tir dans le pied.
 

Voki1

04.01.2015 08:59:20
  • #6


Exact. Je suis cet argumentaire et je le trouve non seulement cohérent, mais absolument fondé. Cependant, plusieurs autres raisons me viennent à l’esprit, qui sont à peine évoquées dans les jugements, mais renforcent la chaîne argumentative. Il s’agit concrètement de la forfaitisation des frais de dossier. Chaque atelier automobile facture pour le « traitement » de la voiture soit un taux horaire, soit une valeur horaire qui forfaitise le temps et l’effort nécessaires aux tâches (le temps peut être plus court ou plus long, c’est la valeur horaire qui est facturée).

Les banques facturent souvent, par exemple, 2 % de frais de dossier (souvent plus) pour le traitement d’un contrat de crédit (petit). Peu importe que le montant du crédit soit de 2 000 EUR pour un voyage ou de 20 000 EUR pour un achat de voiture. Les « frais de dossier » (qui sont censés couvrir le travail de traitement) s’élèvent à 40 EUR pour le voyage et à 400 EUR pour la voiture. J’affirme que le travail fourni est à peu près le même. Très probablement, les coûts réels du crédit pour le voyage sont plus élevés que les frais facturés, tandis que ceux du crédit automobile sont sensiblement plus bas. Ici, ce sont finalement tous les emprunteurs ayant des crédits plus importants qui financent l’avantage accordé à l’ensemble des emprunteurs ayant de petits crédits. ;-)

Il devient clair dès lors que les « frais de dossier » ne sont en réalité pas des frais.

Je suis convaincu que dans quelques années, nous ne verrons plus ces frais pour le traitement des demandes de crédit. Nous allons de plus en plus aller vers une rémunération via les intérêts. Et c’est aussi bien ainsi (pour citer quelqu’un de célèbre). ;-)
 

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