Bonjour,
la question est difficile à répondre de manière générale.
Il ne faut pas oublier qu’aujourd’hui, en ce qui concerne la réglementation sur l’économie d’énergie, on utilise souvent des pierres isolantes très légères.
C’est-à-dire qu’ici, les différences de masse ne sont peut-être plus si importantes, de sorte que de plus en plus, le principe des coques flexibles à la flexion entre en jeu.
Ainsi, c’est une question de planification. Comme déjà mentionné, chaque prise compte ici.
Par exemple, l’année dernière, j’ai conçu une maison près de l’aéroport de Francfort en ossature bois et l’ai réalisée avec le maître d’ouvrage, car je ne voulais pas d’autre entreprise impliquée.
Je me souviens encore bien d’avoir été allongé sur le toit pendant la pause de midi lors de la pose de la couverture, jusqu’à ce que les avions soient détournés et qu’ils entament l’approche finale juste au-dessus de mon « [Nasenspitze] ».
Je n’aurais pas cru que même les tuiles du toit commenceraient à vibrer.
Mais nous avons bien maîtrisé la situation.
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Fondamentalement, il faut cependant distinguer entre bruit aérien et bruit d’impact.
Ici, les murs intérieurs n’ont pas non plus une grande priorité.
Ceux qui souhaitent quelque chose de particulier ici doivent aussi construire de manière particulière. Aucune maison unifamiliale n’est vraiment bien conçue à cet égard, car il s’agit finalement d’exploiter au maximum la surface habitable.
Après tout, aujourd’hui les murs extérieurs ont déjà un air de château...
Cordialement