Même si c’est le cas....à mon avis, l'agent immobilier a donné l'ordre ici....ce ne sera pas la fin du monde. On se débarrasse du problème ou bien : ce notaire fait son travail et explique à son client ce qui est écrit, lui montre des alternatives, etc. Et le client doit savoir ce qu'il veut et ne veut pas. Que veut-il payer ? Que ne veut-il pas payer ? Le bornage par exemple : il est habituel de convenir d’un accord extra-notarial selon lequel les coûts sont partagés. Ils n’appartiennent pas au contrat et restent bien exclus de la taxe sur les mutations immobilières. Pour un terrain non borné, un plan doit faire partie du contrat, pour que ce soit clair ce qui est vendu, combien de mètres en longueur et en largeur. Les frais de bornage ne sont pas négligeables, car il ne s’agit pas seulement de poser des bornes, mais aussi de créer une nouvelle parcelle et de modifier le cadastre. Un écart d’un ou deux mètres carrés entre la description papier et la réalité n’est pas important. À moins qu’il s’agisse d’un terrain en centre-ville....mais dans ce cas, les parties seraient des professionnels et ne poseraient pas de questions ici. - Conclusion : le client doit maintenant parler franchement. Les transactions concernent aussi la dignité, ce que les agents immobiliers et notaires oublient malheureusement trop souvent, là s’assoit le pauvre Willy, on fait vite fait bien fait, et ensuite on veut encore une partie de tennis, Franz ? Karsten