Répartition des terrains au sein de la famille et construction

  • Erstellt am 12.02.2024 13:36:30

PascalBW

13.02.2024 07:48:31
  • #1
Selon le service de l'urbanisme, il n'existe pas de plan d'aménagement dans cette zone.



Tu as raison.







Merci beaucoup pour le conseil.
 

Vanman1610

13.02.2024 11:16:20
  • #2
Nous avons procédé de la manière suivante dans un cas similaire en NRW :
1. Appel au service des affaires de construction de la commune, description du cas, demande de la meilleure démarche à suivre.
2. Même chose auprès du bureau des constructions.
3. Dépôt de la demande de permis de construire, attente de l'approbation.
4. Demande d'autorisation de division (y compris le bornage, etc.) et attente.
5. Enregistrement d'une charge de fusion afin de permettre la construction en limite de propriété.
6. Transmission du terrain et de la maison par donation.

Dans notre cas, il s'agit toutefois de deux bâtiments mitoyens. Notre maison ne sera pas démolie, mais simplement rénovée, c’est-à-dire que les murs extérieurs restent en place.
De plus, vous ne souhaitez pas seulement diviser les terrains, mais les diviser en 3 parties puis en fusionner 2.
Au minimum, une demande préalable de permis de construire est obligatoire dans ce cas ! Je vous recommanderais quand même de prendre contact avec l'administration du bâtiment auparavant.
La question de savoir s’il existe en BW la même possibilité qu’en NRW d’enregistrer une charge de fusion pour permettre la construction en limite de propriété est une autre question.
 

11ant

13.02.2024 13:13:13
  • #3

Je n’aurais pas pu le dire mieux ; la divergence par rapport à ton croquis de principe grossier est assez importante (ce que je pressentais). Maintenant, on peut voir beaucoup plus clairement et développer des propositions fondées.

Encore mieux, tu postes aussi un autre extrait (rayon d’environ 100 m), alors on peut aussi reconnaître des « limites de construction factuelles ». Si possible, choisis une carte où les dépendances de plain-pied sont différenciées.

La maison actuelle n° 14 semble empiéter légèrement sur la limite de la parcelle du voisin à l’ouest. Et à partir des numéros de parcelles, le soupçon se confirme que la parcelle 15/2 a été découpée / démarquée à partir d’une ancienne parcelle globale 15.

Je réfléchirais – bien sûr en tant que « opinion personnelle, pas un conseil juridique » – à m’éloigner largement de la voie des mesures que tu as décrites. Supposons donc que tu sois quelqu’un qui écoute le conseil du père de Charly, la situation suivante ou la démarche suivante serait alors proche :
1. probablement, une fusion de « 15 actuel » et « 15/2 » ne conduirait qu’à une reconstitution de la parcelle globale « 15 ancienne » ;
2. toutes les pièces du jeu sont (liées par mariage) parentes entre elles ;
3. ton beau-père (= auteur décédé de ta femme de naissance) est impliqué en tant que propriétaire dans cet ensemble, à savoir dans la partie 1 avec la maison A à parts égales avec ses frères et sœurs et dans la partie 2 avec la maison B conjointement avec son épouse (elle aussi auteur décédé de ta femme de naissance).

Que quelqu’un soit un filou ou un fou reste en suspens et au choix.
Honnêtement : le père de Charly – et là je le comprends très bien – voit dans les démarches de nouvelle division du/des bien(s) un gâchis inutile, créant ainsi des événements de taxation et (en cas de succession même une deuxième fois) des motifs d’imposition. Selon lui, ce qui suit est presque évident :
1. Apport des parts de propriété actuelles des parcelles « 15 actuel » et « 15/2 » dans une communauté immobilière ;
2. Contrats de bail emphytéotique de la communauté immobilière sur la surface « encadrée en bleu » aux époux « toi et ta femme » et sur la surface « encadrée en rouge » aux beaux-parents ;
3. règlement des comptes du beau-père avec ses frères et sœurs non sur la base des terrains, mais sur la base des parts sociales ;
4. en outre, il en résulte des possibilités de donation beaucoup plus avantageuses des beaux-parents à ta femme et à toi, également par transfert de parts sociales.

Dans votre contrat de bail emphytéotique (2./bleu), le traitement des coûts de déblaiement de la surface par démolition de la maison A est également réglé. Au moins le père de Charly affirme cela, je connais aussi des avocat(e)s et des fiscalistes compétent(e)s. Cela nous amène toutefois presque à la fin de ma réflexion libre d’honoraires.

Les maisons A et B sont-elles en fait si différentes en terme d’état, parce que les beaux-parents occupent encore B, mais que vous voulez démolir A ?
 

PascalBW

15.02.2024 09:44:37
  • #4
Merci beaucoup pour la réponse détaillée. Cela semble en tout cas être une alternative raisonnable.
 

PascalBW

15.02.2024 09:54:04
  • #5
Une autre possibilité serait également de dissoudre la communauté des héritiers pour le terrain 15 et la maison qui s’y trouve, de manière à ce que mon beau-père figure seul au registre foncier et paie ses frères et sœurs. Selon l’article 3 de la loi sur la taxe d’acquisition foncière, aucune taxe d’acquisition ne devrait alors être due.
Il nous vendrait alors le terrain 15 en totalité à ma femme et à moi, et nous abandonnerions le découpage/la délimitation de la parcelle partielle de 15, ce qui nous permettrait d’économiser les frais y afférents. Pour autant que mes beaux-parents soient d’accord avec cela.


Oui, c’est le cas, mais il reste à discuter avec un architecte pour savoir si la démolition de A est judicieuse ou si une rénovation complète serait plus sensée.
 

11ant

15.02.2024 11:44:18
  • #6

Je transmettrai les remerciements au père de Charly.

Je qualifierais plutôt cette "alternative" de "plan A" – les habitudes de la non-noblesse diffèrent de celles des Family Offices et des Fideicommis. L’« homme ordinaire » aime apparemment déplacer son patrimoine dans la caisse de l’État. À chacun son petit plaisir.

Dans *hüstel* mes cercles *grins*, on dit que n’achètent à un héritier que ceux qui ont aussi rogné sur les sommes (voir plus haut).
Même le plus petit chien peut sauter par-dessus la ligne sur l’extrait cadastral sans élan si on ne trace pas réellement une clôture avec une vraie barrière. Pour faire valoir et disposer il n’est pas nécessaire d’avoir une propriété saisissable. Que cela plaise à ceux qui aiment payer des impôts pour transférer leur patrimoine entre un livret d’épargne et une boîte à biscuits, qu’on leur accorde cela avec plaisir. Au moins tu comprends que la perception de frais pour une clôture virtuelle n’a aucune valeur nutritive. Il y a donc encore de l’espoir.
 

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