Tu as raison.
Je n’aurais pas pu le dire mieux ; la divergence par rapport à ton croquis de principe grossier est assez importante (ce que je pressentais). Maintenant, on peut voir beaucoup plus clairement et développer des propositions fondées.
Encore mieux, tu postes aussi un autre extrait (rayon d’environ 100 m), alors on peut aussi reconnaître des « limites de construction factuelles ». Si possible, choisis une carte où les dépendances de plain-pied sont différenciées.
La maison actuelle n° 14 semble empiéter légèrement sur la limite de la parcelle du voisin à l’ouest. Et à partir des numéros de parcelles, le soupçon se confirme que la parcelle 15/2 a été découpée / démarquée à partir d’une ancienne parcelle globale 15.
Je réfléchirais – bien sûr en tant que « opinion personnelle, pas un conseil juridique » – à m’éloigner largement de la voie des mesures que tu as décrites. Supposons donc que tu sois quelqu’un qui écoute le conseil du père de Charly, la situation suivante ou la démarche suivante serait alors proche :
1. probablement, une fusion de « 15 actuel » et « 15/2 » ne conduirait qu’à une reconstitution de la parcelle globale « 15 ancienne » ;
2. toutes les pièces du jeu sont (liées par mariage) parentes entre elles ;
3. ton beau-père (= auteur décédé de ta femme de naissance) est impliqué en tant que propriétaire dans cet ensemble, à savoir dans la partie 1 avec la maison A à parts égales avec ses frères et sœurs et dans la partie 2 avec la maison B conjointement avec son épouse (elle aussi auteur décédé de ta femme de naissance).
Que quelqu’un soit un filou ou un fou reste en suspens et au choix.
Honnêtement : le père de Charly – et là je le comprends très bien – voit dans les démarches de nouvelle division du/des bien(s) un gâchis inutile, créant ainsi des événements de taxation et (en cas de succession même une deuxième fois) des motifs d’imposition. Selon lui, ce qui suit est presque évident :
1. Apport des parts de propriété actuelles des parcelles « 15 actuel » et « 15/2 » dans une communauté immobilière ;
2. Contrats de bail emphytéotique de la communauté immobilière sur la surface « encadrée en bleu » aux époux « toi et ta femme » et sur la surface « encadrée en rouge » aux beaux-parents ;
3. règlement des comptes du beau-père avec ses frères et sœurs non sur la base des terrains, mais sur la base des parts sociales ;
4. en outre, il en résulte des possibilités de donation beaucoup plus avantageuses des beaux-parents à ta femme et à toi, également par transfert de parts sociales.
Dans votre contrat de bail emphytéotique (2./bleu), le traitement des coûts de déblaiement de la surface par démolition de la maison A est également réglé. Au moins le père de Charly affirme cela, je connais aussi des avocat(e)s et des fiscalistes compétent(e)s. Cela nous amène toutefois presque à la fin de ma réflexion libre d’honoraires.
Les maisons A et B sont-elles en fait si différentes en terme d’état, parce que les beaux-parents occupent encore B, mais que vous voulez démolir A ?