CJhome20
28.08.2021 14:44:49
- #1
Bonjour,
ma question concerne la situation suivante.
Monsieur X et Madame X ont construit une maison dans un bon emplacement et ont contracté un prêt pour le financer.
Ils ont deux enfants en commun et sont actuellement en train de divorcer.
Madame X habite toujours dans la maison avec les deux enfants. Elle seule assume actuellement le remboursement du prêt. Le remboursement (puisqu’à l’époque un taux de remboursement assez élevé avait été convenu) est actuellement presque suspendu par la banque prêteuse par courtoisie (et cela est consigné par écrit). La durée de cette convention va presque jusqu’à la fin de la période fixe des intérêts. Ceci afin de permettre à Madame X de rester habiter la maison.
Tous deux ont signé le contrat de prêt, celui-ci sera résilié à la fin de la période fixe des intérêts afin de ne pas engager davantage Monsieur X.
Monsieur X ne figure pas au registre foncier.
Concernant les chiffres :
- La période fixe des intérêts se termine dans 2,5 ans
- Le reste dû sera alors d’environ 340 000 €
- La valeur actuelle de la maison et du terrain est d’environ 680 000 €
- Monsieur X a droit à 100 000 € au titre du mariage (communauté, l’argent est dans la maison)
- Les dettes totales de Madame X s’élèvent donc à environ 440 000 €, le reste lui appartient (240 000 €)
- Madame X gagne moins de 2 000 € au travail, elle reçoit en plus environ 1 400 € d’allocations familiales et de pension alimentaire. Les deux enfants atteindront chacun l’âge de 18 ans au cours du financement en cours, dans environ 10 ans.
- Les revenus de Monsieur X ne jouent aucun rôle pour un refinancement ou un financement relais.
Monsieur X a dans cette situation trois possibilités (aussi improbable que cela puisse paraître pour lui d’en choisir une, elles existent) :
1. Il réintègre un contrat de prêt, par exemple en tant que caution. Madame X devrait alors contracter un prêt d’environ 340 000 €.
2. Report ou renonciation de 100 000 €. Dans ce cas également, Madame X devrait contracter un prêt d’environ 340 000 €.
3. Il exige un versement de 100 000 €, ce qui obligerait Madame X à contracter un prêt d’environ 440 000 €.
Mais pour ne pas entrer trop profondément dans la situation financière globale, la question suivante : à ceux d’entre vous qui êtes plus expérimentés que moi en matière bancaire et financement :
Existe-t-il une banque qui, selon les conditions mentionnées ci-dessus, accorderait à Madame X un prêt d’au moins 340 000 € ?
Et si oui, à quel taux d’intérêt cela serait-il possible ?
Note en marge : la banque actuellement prêteuse ne voit pas cela vraiment possible pour l’instant, mais elle va à nouveau examiner la situation en détail.
On pourrait « craindre » qu’une banque dise en cas de doute : Eh bien si Madame X ne paie plus, elle vendra la maison et la banque récupérera de toute façon l’argent (avec un certain risque résiduel) en raison de la valeur.
Merci d’avance pour votre avis.
ma question concerne la situation suivante.
Monsieur X et Madame X ont construit une maison dans un bon emplacement et ont contracté un prêt pour le financer.
Ils ont deux enfants en commun et sont actuellement en train de divorcer.
Madame X habite toujours dans la maison avec les deux enfants. Elle seule assume actuellement le remboursement du prêt. Le remboursement (puisqu’à l’époque un taux de remboursement assez élevé avait été convenu) est actuellement presque suspendu par la banque prêteuse par courtoisie (et cela est consigné par écrit). La durée de cette convention va presque jusqu’à la fin de la période fixe des intérêts. Ceci afin de permettre à Madame X de rester habiter la maison.
Tous deux ont signé le contrat de prêt, celui-ci sera résilié à la fin de la période fixe des intérêts afin de ne pas engager davantage Monsieur X.
Monsieur X ne figure pas au registre foncier.
Concernant les chiffres :
- La période fixe des intérêts se termine dans 2,5 ans
- Le reste dû sera alors d’environ 340 000 €
- La valeur actuelle de la maison et du terrain est d’environ 680 000 €
- Monsieur X a droit à 100 000 € au titre du mariage (communauté, l’argent est dans la maison)
- Les dettes totales de Madame X s’élèvent donc à environ 440 000 €, le reste lui appartient (240 000 €)
- Madame X gagne moins de 2 000 € au travail, elle reçoit en plus environ 1 400 € d’allocations familiales et de pension alimentaire. Les deux enfants atteindront chacun l’âge de 18 ans au cours du financement en cours, dans environ 10 ans.
- Les revenus de Monsieur X ne jouent aucun rôle pour un refinancement ou un financement relais.
Monsieur X a dans cette situation trois possibilités (aussi improbable que cela puisse paraître pour lui d’en choisir une, elles existent) :
1. Il réintègre un contrat de prêt, par exemple en tant que caution. Madame X devrait alors contracter un prêt d’environ 340 000 €.
2. Report ou renonciation de 100 000 €. Dans ce cas également, Madame X devrait contracter un prêt d’environ 340 000 €.
3. Il exige un versement de 100 000 €, ce qui obligerait Madame X à contracter un prêt d’environ 440 000 €.
Mais pour ne pas entrer trop profondément dans la situation financière globale, la question suivante : à ceux d’entre vous qui êtes plus expérimentés que moi en matière bancaire et financement :
Existe-t-il une banque qui, selon les conditions mentionnées ci-dessus, accorderait à Madame X un prêt d’au moins 340 000 € ?
Et si oui, à quel taux d’intérêt cela serait-il possible ?
Note en marge : la banque actuellement prêteuse ne voit pas cela vraiment possible pour l’instant, mais elle va à nouveau examiner la situation en détail.
On pourrait « craindre » qu’une banque dise en cas de doute : Eh bien si Madame X ne paie plus, elle vendra la maison et la banque récupérera de toute façon l’argent (avec un certain risque résiduel) en raison de la valeur.
Merci d’avance pour votre avis.