Un passage piéton est-il nécessaire s'il n'y a pas de trottoir (à Berlin) ?

C'est même une loi, la partie citée est le premier paragraphe. La loi existe depuis 1999, autant que j'ai pu le découvrir, le premier paragraphe avec cette formulation a été valable jusqu'à la version la plus récente de 2021.
Comment savoir quelle norme était applicable avant ? L'introduction de la loi n'en dit rien et une recherche Google très basique n'a pas non plus trouvé de résultat concluant.

Oui, je pense aussi que réveiller les chiens qui dorment est la pire option, mais selon les déclarations de l'entrepreneur, cela arrivera tôt ou tard et alors il y aurait un risque de devoir payer des amendes supplémentaires parce qu'on aurait enfreint la loi tout ce temps en traversant la « partie de la route non destinée à la circulation ». Il a aussi dit que l'administration concernée avait pourvu 7 nouveaux postes et qu'il avait maintenant un client après l'autre pour lequel il doit réaliser ces traversées. Mais cela peut aussi n'être que du baratin commercial.
Nous parlerons demain avec un autre entrepreneur, on verra ce qu'il en dit...

Cela m'amène maintenant à la question suivante :

Quelqu'un a-t-il de l'expérience avec une compensation financière/ replantation d’un arbre sur un terrain public ?
Je trouve beaucoup d'informations concernant les arbres protégés sur un terrain privé, mais est-ce alors la même chose avec en plus des frais de dossier ou est-ce encore plus cher si c'est un arbre public ?

Je dirais qu'un chemin est aussi consolidé avec du gravier, c'est donc une solution économique qui laisse l'arbre être arbre...

Oui, c'est possible, cela expliquerait au moins pourquoi les voisins n'ont souvent que de telles traversées. Cependant, chez nous, ce n'est même pas gravillonné. C'est simplement un sol sableux compacté, probablement mélangé à des matières humiques. Il n'y avait pas de traversée là auparavant. Donc, en cas de doute, nous devrions la réaliser (peu importe comment) et ensuite il faut une fondation, qui se trouve déjà dans la zone des racines de l'arbre.
Je crains presque que nous n'y échappions pas.

La question serait, attendre simplement et économiser entre-temps ou faire les choses correctement tout de suite ?

C'est même une loi, la partie citée est le premier paragraphe. La loi existe depuis 1999, d'après ce que j'ai pu découvrir, le premier paragraphe était libellé ainsi jusqu'à la version la plus récente de 2021.

Les normes doivent être définies. Il doit donc y avoir une définition des « composants de la route non circulables », des « passages » et de ce qui est « revêtu ». Et s'il n'y a rien de contraire, une couche de surface en matériau non lié est aussi « revêtue ».

Oui, cela peut tout à fait être le cas, mais une couche de chemin liée à l'eau nécessitera également probablement un support résistant au gel et un matériau approprié (et non un sol humifère) et devra au moins être compactée une fois. Cela impliquera cependant toutes des interventions dans la zone des racines de l'arbre et est donc soumis à une autorisation distincte, si ce n’est pas qu’ils nous le refusent complètement, car c’est une construction neuve et nous n’aurions pas dû planifier l’accès là-bas.

Je constate encore une fois que nous avons été mal conseillés par notre agent immobilier et notre maître d’œuvre.

Pour être tout à fait honnête, si cela ne te dérange pas toi-même, alors mets simplement quelques centimètres de gravier dessus sans fondation. Je doute qu’il existe une consigne de travail précise pour cela, encore moins que quelqu’un vérifie et aille creuser avec une pelle. Si tu dis que les autres l’ont fait de la même manière, alors d’autant plus.