Fay1983
11.09.2019 17:53:33
- #1
Bonjour,
dans un autre fil de discussion, j’ai déjà exposé quelques problèmes avec notre promoteur immobilier.
J’espère poster ici au bon endroit, car nous sommes maintenant confrontés à une question "officielle".
Nous construisons une maison clé en main avec un promoteur et acquérons le terrain avec la maison après la livraison en février 2020.
Actuellement, la maison est en train d’être "fermée", c’est-à-dire que la structure est en place, le toit est posé et les fenêtres sont installées.
Le terrain est en légère (!) pente vers la limite arrière du terrain ; toutefois, au début des travaux, le terrain a été fortement remblayé, de sorte que la dalle de fondation se trouve maintenant relativement haute par rapport au niveau initial du terrain. Le promoteur ne prévoit pas de stabiliser le sol meuble, considérant que cela relève du thème des "espaces extérieurs". À ce moment-là, je ne m’en suis pas inquiété, car le promoteur doit bien savoir ce qu’il fait.
Plusieurs paysagistes ont maintenant examiné le terrain, nous voulions savoir quels coûts (qui n’avaient pas été prévus) sont à prévoir.
Il faudrait sécuriser et remblayer jusqu’à une hauteur d’environ 1,70 m, afin d’obtenir une surface plane au niveau de la dalle, le tout incluant les travaux d’abattage (qui sont maintenant à moitié enterrés) et la pose d’une clôture, soit environ 10 000 euros.
Pour nous protéger juridiquement, j’ai donc appelé le service d’urbanisme compétent pour demander d’éventuelles obligations (oui, chez nous c’est soumis à autorisation à partir de 2,00 m). Par hasard, j’ai eu en ligne l’examinateur exact de notre demande de permis de construire, nous avons discuté et – pour faire court – il s’est avéré que le promoteur a mal déposé la demande de permis !
Les documents soumis ne correspondent pas à l’état actuel réel.
Le service d’urbanisme se sent "trompé" et convoquera le promoteur à une audience ; de plus, il y aura désormais des obligations pour le promoteur concernant la stabilisation du terrain.
Ma question est donc la suivante : devons-nous finalement prendre en charge les coûts de la stabilisation nous-mêmes ?
Pour la demande de permis, les mêmes plans exacts ont été soumis que ceux que nous avions signés dans l’acte notarié.
Un plan d’exécution avec la pente réelle du terrain (visiblement mesurée seulement après coup) ne nous a été remis qu’après l’acte notarié et l’autorisation de construire, au début des travaux.
Nous considérons en fait que l’obligation incombe au promoteur, puisqu’il a remis à la fois au service d’urbanisme et à nous, acheteurs, des plans erronés.
Quelqu’un aurait-il déjà eu un cas similaire ?
Merci et cordialement
dans un autre fil de discussion, j’ai déjà exposé quelques problèmes avec notre promoteur immobilier.
J’espère poster ici au bon endroit, car nous sommes maintenant confrontés à une question "officielle".
Nous construisons une maison clé en main avec un promoteur et acquérons le terrain avec la maison après la livraison en février 2020.
Actuellement, la maison est en train d’être "fermée", c’est-à-dire que la structure est en place, le toit est posé et les fenêtres sont installées.
Le terrain est en légère (!) pente vers la limite arrière du terrain ; toutefois, au début des travaux, le terrain a été fortement remblayé, de sorte que la dalle de fondation se trouve maintenant relativement haute par rapport au niveau initial du terrain. Le promoteur ne prévoit pas de stabiliser le sol meuble, considérant que cela relève du thème des "espaces extérieurs". À ce moment-là, je ne m’en suis pas inquiété, car le promoteur doit bien savoir ce qu’il fait.
Plusieurs paysagistes ont maintenant examiné le terrain, nous voulions savoir quels coûts (qui n’avaient pas été prévus) sont à prévoir.
Il faudrait sécuriser et remblayer jusqu’à une hauteur d’environ 1,70 m, afin d’obtenir une surface plane au niveau de la dalle, le tout incluant les travaux d’abattage (qui sont maintenant à moitié enterrés) et la pose d’une clôture, soit environ 10 000 euros.
Pour nous protéger juridiquement, j’ai donc appelé le service d’urbanisme compétent pour demander d’éventuelles obligations (oui, chez nous c’est soumis à autorisation à partir de 2,00 m). Par hasard, j’ai eu en ligne l’examinateur exact de notre demande de permis de construire, nous avons discuté et – pour faire court – il s’est avéré que le promoteur a mal déposé la demande de permis !
Les documents soumis ne correspondent pas à l’état actuel réel.
Le service d’urbanisme se sent "trompé" et convoquera le promoteur à une audience ; de plus, il y aura désormais des obligations pour le promoteur concernant la stabilisation du terrain.
Ma question est donc la suivante : devons-nous finalement prendre en charge les coûts de la stabilisation nous-mêmes ?
Pour la demande de permis, les mêmes plans exacts ont été soumis que ceux que nous avions signés dans l’acte notarié.
Un plan d’exécution avec la pente réelle du terrain (visiblement mesurée seulement après coup) ne nous a été remis qu’après l’acte notarié et l’autorisation de construire, au début des travaux.
Nous considérons en fait que l’obligation incombe au promoteur, puisqu’il a remis à la fois au service d’urbanisme et à nous, acheteurs, des plans erronés.
Quelqu’un aurait-il déjà eu un cas similaire ?
Merci et cordialement