Thomas Faerber
29.10.2021 23:59:21
- #1
Bonjour à tous,
cette semaine, une nouvelle porte d'entrée a été livrée et installée chez nous. La porte est arrivée - à mon avis - trop grande et elle n’a pas été posée dans l'ouverture du mur, mais montée de l’intérieur contre le mur. Malheureusement, je n’étais pas sur place et un autre membre de la famille a quasi autorisé cette installation.

Alors, maintenant je réfléchis à la manière de gérer cela. L’entreprise responsable estime qu’ils ont mesuré exprès ainsi, tout est conforme à la commande. Je vais me ressaisir et m’épargner ainsi qu’à vous d’entrer davantage dans ce sujet.
Pour moi, c’est totalement inattendu. Le mur extérieur non isolé fait 45 cm d’épaisseur et sera par la suite équipé d’une isolation extérieure. J’ai même fait agrandir spécialement l’ouverture du mur au préalable. Je ne m’étais jamais imaginé ne pas installer la porte au centre. D’autant plus que l’ouverture ne contient aucune isolation et qu’au moins le linteau doit encore être enduit. Je ne peux donc plus y poser d’isolation devant. Peut-être au maximum 1 cm, mais alors, l’encadrement de la porte arriverait quasiment à fleur avec l’isolation. Comme il s’agit d’un vieux bâtiment et que les murs ne sont pas droits, il y a des jeux importants (contenant au moins un joint d’étanchéité), comme on peut le voir sur la photo. Cela n’a pas vraiment posé problème pour le plâtre intérieur, car personne ne s’attendait à ce qu’on y installe une porte. Le cadre de la porte doit encore être habillé et les interstices comblés. Le cadre comporte aussi des trous pré-percés qui servent normalement à ancrer le cadre dans l’ouverture.
Ce qui m’intéresse maintenant, c’est en fait : est-ce qu’on fait ce genre de choses ? Admettons que ce malentendu soit de ma faute, est-ce que ce serait acceptable d’un point de vue artisanal ou technique ? Puisque le mur extérieur dans l’ouverture ne peut pas être isolé, je suppose fermement que cela doit créer un pont thermique. Mon hypothèse est-elle correcte ?
cette semaine, une nouvelle porte d'entrée a été livrée et installée chez nous. La porte est arrivée - à mon avis - trop grande et elle n’a pas été posée dans l'ouverture du mur, mais montée de l’intérieur contre le mur. Malheureusement, je n’étais pas sur place et un autre membre de la famille a quasi autorisé cette installation.
Alors, maintenant je réfléchis à la manière de gérer cela. L’entreprise responsable estime qu’ils ont mesuré exprès ainsi, tout est conforme à la commande. Je vais me ressaisir et m’épargner ainsi qu’à vous d’entrer davantage dans ce sujet.
Pour moi, c’est totalement inattendu. Le mur extérieur non isolé fait 45 cm d’épaisseur et sera par la suite équipé d’une isolation extérieure. J’ai même fait agrandir spécialement l’ouverture du mur au préalable. Je ne m’étais jamais imaginé ne pas installer la porte au centre. D’autant plus que l’ouverture ne contient aucune isolation et qu’au moins le linteau doit encore être enduit. Je ne peux donc plus y poser d’isolation devant. Peut-être au maximum 1 cm, mais alors, l’encadrement de la porte arriverait quasiment à fleur avec l’isolation. Comme il s’agit d’un vieux bâtiment et que les murs ne sont pas droits, il y a des jeux importants (contenant au moins un joint d’étanchéité), comme on peut le voir sur la photo. Cela n’a pas vraiment posé problème pour le plâtre intérieur, car personne ne s’attendait à ce qu’on y installe une porte. Le cadre de la porte doit encore être habillé et les interstices comblés. Le cadre comporte aussi des trous pré-percés qui servent normalement à ancrer le cadre dans l’ouverture.
Ce qui m’intéresse maintenant, c’est en fait : est-ce qu’on fait ce genre de choses ? Admettons que ce malentendu soit de ma faute, est-ce que ce serait acceptable d’un point de vue artisanal ou technique ? Puisque le mur extérieur dans l’ouverture ne peut pas être isolé, je suppose fermement que cela doit créer un pont thermique. Mon hypothèse est-elle correcte ?