pkiensch
05.08.2021 09:31:07
- #1
Non, je considère que le projet n'est pas réalisable.
Oui, ce sont tous des arguments valables. Toute la série d'objections concernant les cris d'enfants de Rottweiler peut aussi m'arriver dans n'importe quel autre voisinage au hasard ; dans quelle mesure le fait d'« aimer » les voisins dans de tels cas aide ou non dépend certainement de la situation.
La façon dont tout cela est organisé en droit privé, en particulier dès que des sommes importantes doivent être versées d'avance, est un sujet important. Je ne voulais pas m'y attarder si le projet avait été jugé impossible à 100 %.
La région est « nulle », je sais, mais d'un autre côté, toute autre forme de vie ici est désagréable, ce qui peut aussi encourager une certaine disposition au compromis.
Ma - très naïve - idée est la suivante : si on devient porteur de projet en tant que tel groupe d'intérêt et que quelqu'un se désiste, on a au moins en main le choix de ses voisins en deuxième instance en tant que groupe restant. Il est clair que l'on se trouve ainsi en concurrence directe avec de « vrais » porteurs de projet, mais peut-être qu'un propriétaire de terrain trouvera ces derniers antipathiques et ne vendra pas par principe ? D'après tout ce qu'on peut lire ici sur les achats de terrain à plus petite échelle, les décisions de vente ne sont clairement pas seulement une question de savoir si X € > Y €.
Que le projet ne corresponde en aucune dimension au « standard » est connu de tous les participants, mais pourquoi ne pas penser grand d'abord, au lieu d’abandonner directement au début. :)