knifflig
06.04.2016 14:17:23
- #1
Bonjour à tous,
je suis confronté à une décision difficile. Mon père (67 ans) vit actuellement dans sa maison (maison individuelle), dont je pourrais estimer la valeur à environ 200 000 euros. Le crédit s’élève encore à environ 130 000 euros et arrive à échéance début 2017. Lui-même ne pourra à l’avenir payer que le strict nécessaire avec sa retraite, c’est-à-dire les intérêts selon la proposition de prolongation (probablement ~2%) et 1% d’amortissement – au total donc peut-être 300-500 euros. Une offre de la banque actuelle ainsi que d’autres banques doit encore être demandée.
À propos de moi
J’ai 33 ans et je souhaite sortir de mon appartement en location dans les 2 à 6 prochaines années et acheter une maison.
Revenu (mensuel/net) : 3 000
Apport personnel : 35 000
Taux d’épargne : 1 600
Option 1
Je continue à économiser – comme jusqu’à présent – un apport personnel et j’achète une maison dans la période mentionnée ci-dessus.
Option 2
Je participe au financement de la prolongation dans une certaine mesure (900 € ?) et je continue à épargner le reste (700 € ?). Si je devais trouver une maison, l’amortissement pour la maison de mon père serait réduit, de sorte qu’il ne paierait plus que lui. En cas de besoin (voir paragraphe suivant), je pourrais alors reprendre le relais. Cela suppose toutefois une double adaptation de l’amortissement pendant la durée du contrat.
Pourquoi l’option 2 ? Malheureusement, je dois envisager le fait que mon père ne vivra pas jusqu’à 100 ans, surtout parce qu’il a déjà eu une grave maladie dont une rechute pourrait survenir à tout moment. Ainsi, les taux d’intérêts actuellement bas pourraient être utilisés sans avoir à acquérir plus tard un bien immobilier surévalué.
Remarques
A) Ma compagne a un revenu d’environ 2 000 et pas d’apport personnel. Elle financerait bien sûr une partie en cas d’achat d’une maison, mais je ne la prends pas en compte dans les réflexions sur l’option 2. Un mariage et environ 2 enfants sont également prévus ou envisagés dans la période mentionnée (2-6 ans).
B) J’ai aussi un frère, mais il habite trop loin pour utiliser la maison de mon père lui-même (ce n’est pas une option pour lui non plus). Au final, je devrais comptabiliser ma part investie dans une revente éventuelle de la maison ou le racheter si je voulais l’utiliser moi-même.
Questions
1) Je suppose qu’il n’a pas de sens de transférer la maison/le crédit à mon nom, car je n’obtiendrais pas de second financement autrement. Ou bien la maison compte-t-elle comme apport personnel à hauteur d’environ 70 000 euros ?
2) La valeur de la maison est-elle estimée (à nouveau) lors d’un financement de prolongation ?
J’espère avoir été clair :) Je serais très heureux de recevoir des avis et des conseils. Merci beaucoup d’avance !
Daniel
je suis confronté à une décision difficile. Mon père (67 ans) vit actuellement dans sa maison (maison individuelle), dont je pourrais estimer la valeur à environ 200 000 euros. Le crédit s’élève encore à environ 130 000 euros et arrive à échéance début 2017. Lui-même ne pourra à l’avenir payer que le strict nécessaire avec sa retraite, c’est-à-dire les intérêts selon la proposition de prolongation (probablement ~2%) et 1% d’amortissement – au total donc peut-être 300-500 euros. Une offre de la banque actuelle ainsi que d’autres banques doit encore être demandée.
À propos de moi
J’ai 33 ans et je souhaite sortir de mon appartement en location dans les 2 à 6 prochaines années et acheter une maison.
Revenu (mensuel/net) : 3 000
Apport personnel : 35 000
Taux d’épargne : 1 600
Option 1
Je continue à économiser – comme jusqu’à présent – un apport personnel et j’achète une maison dans la période mentionnée ci-dessus.
Option 2
Je participe au financement de la prolongation dans une certaine mesure (900 € ?) et je continue à épargner le reste (700 € ?). Si je devais trouver une maison, l’amortissement pour la maison de mon père serait réduit, de sorte qu’il ne paierait plus que lui. En cas de besoin (voir paragraphe suivant), je pourrais alors reprendre le relais. Cela suppose toutefois une double adaptation de l’amortissement pendant la durée du contrat.
Pourquoi l’option 2 ? Malheureusement, je dois envisager le fait que mon père ne vivra pas jusqu’à 100 ans, surtout parce qu’il a déjà eu une grave maladie dont une rechute pourrait survenir à tout moment. Ainsi, les taux d’intérêts actuellement bas pourraient être utilisés sans avoir à acquérir plus tard un bien immobilier surévalué.
Remarques
A) Ma compagne a un revenu d’environ 2 000 et pas d’apport personnel. Elle financerait bien sûr une partie en cas d’achat d’une maison, mais je ne la prends pas en compte dans les réflexions sur l’option 2. Un mariage et environ 2 enfants sont également prévus ou envisagés dans la période mentionnée (2-6 ans).
B) J’ai aussi un frère, mais il habite trop loin pour utiliser la maison de mon père lui-même (ce n’est pas une option pour lui non plus). Au final, je devrais comptabiliser ma part investie dans une revente éventuelle de la maison ou le racheter si je voulais l’utiliser moi-même.
Questions
1) Je suppose qu’il n’a pas de sens de transférer la maison/le crédit à mon nom, car je n’obtiendrais pas de second financement autrement. Ou bien la maison compte-t-elle comme apport personnel à hauteur d’environ 70 000 euros ?
2) La valeur de la maison est-elle estimée (à nouveau) lors d’un financement de prolongation ?
J’espère avoir été clair :) Je serais très heureux de recevoir des avis et des conseils. Merci beaucoup d’avance !
Daniel