Financement de la construction, coûts de construction - cela va-t-il fonctionner ?

  • Erstellt am 27.10.2017 18:03:02

77.willo

29.10.2017 07:25:35
  • #1
Parmi mes employés, il y a toujours des gens qui vont assez loin en Brandebourg et envisagent de faire la navette jusqu'à Berlin. Dans l'immense majorité des cas, ils ne tiennent pas longtemps et finissent plus tôt ou plus tard par chercher un autre emploi moins bien payé avec des temps de trajet plus courts. À partir de deux heures ou plus de trajet par jour, le plaisir s'arrête simplement et le temps libre investi n'est pas compensé longtemps par une nouvelle maison, même si tout cela est planifié longtemps à l'avance et que l'on voit les choses en rose au début. La maison cesse un jour d'être neuve et excitante, mais le trajet, lui, reste.
 

Bau-Schmidt

29.10.2017 07:59:25
  • #2
Jusqu'à 50 km ou environ 30 minutes, je considère cela acceptable.
 

HilfeHilfe

29.10.2017 08:28:40
  • #3


je fais la navette 75 km ou 1,5 h en transports en commun.

50 km en 30 minutes, l'autoroute doit être libre.

Pourquoi tout ça ? En dehors des métropoles, c'est quand même moins cher. On meurt toujours d'une certaine manière.

Ce qui me dérange, c'est que cette navette doit être faite de préférence à temps plein par la femme et que les grands-parents s'occupent de l'éducation des enfants. bon, à chacun son truc
 

JuKa2016

29.10.2017 09:02:43
  • #4
Cela a peut-être été mal perçu. De plus, la femme ne doit rien faire, car elle participe activement aux décisions.

Pour ma femme, la situation dans la région avec peu de navettage est meilleure que pour moi, par exemple, bien que je trouve mon trajet acceptable. Les autres emplois entraîneraient bien sûr une baisse de salaire mais aussi des frais de déplacement moindres. Des revenus plus faibles signifient cependant une cotisation à la retraite moindre.

En résumé, ma femme changerait sûrement d’employeur tôt ou tard.

Sur le sujet des grands-parents (pourquoi est-ce que je me justifie d’ailleurs ?), qu’y a-t-il à redire à ce qu’on les fasse participer partiellement ou en cas de besoin à la garde, d’autant plus qu’ils le souhaitent absolument ? Personne ne dit que les grands-parents doivent élever les petits-enfants.

Si nous réalisons notre projet, des membres de la famille proche (des deux côtés) habitent dans un rayon de 15 km. Le cercle d’amis aussi, d’ailleurs, et en partie accessible à pied.

Le nouvel environnement est plus rural, ce que je trouve personnellement plus agréable qu’une ville. Aussi en ce qui concerne les enfants.

Le seul inconvénient selon nous, comme déjà mentionné, c’est les trajets de ma femme et le changement d’employeur lorsqu’il y aura des enfants un jour. Nous devons encore y réfléchir et envisager d’autres options.

Sinon, l’emplacement est tout simplement trop parfait pour laisser passer cette opportunité : environ 30 km jusqu’au panneau de la ville de Francfort, les prix des terrains augmentent énormément ici et de nouveaux terrains à bâtir sont constamment aménagés. Crèche et école primaire sur place, collège à 3 km. Il y a encore des champs et des forêts, un boucher et un boulanger ainsi que des commerces.

D’ailleurs, je ne vois pas la proximité de nos parents seulement du point de vue de la garde de nos enfants mais surtout pour le cas où eux-mêmes ne pourraient plus s’en occuper : on est à proximité et on peut plutôt aller tondre la pelouse ou laver le linge avec eux, ou leur permettre de vivre un peu plus longtemps de façon autonome. Après tout, ils ont aussi beaucoup fait pour moi.
 

Bau-Schmidt

29.10.2017 09:18:30
  • #5
C'est pourquoi nous construisons dans une station climatique. Vivre là où les autres passent leurs vacances. 365 jours....
 

HilfeHilfe

29.10.2017 14:48:42
  • #6
désolé si je semble un peu agressif. Nous avions aussi eu le désir ardent que grand-mère / grand-père organise un jour par mois toutes les 2 à 4 semaines un jour avec les petits-enfants (avec nuitée). Grand-père est tombé malade, ce qui a tout annulé.

Ma femme a rencontré des problèmes professionnels après le deuxième enfant (changement de direction, femme sans enfants / qui le restera). Un jour de télétravail supprimé, après un an de temps partiel et de trajets similaires, on essaie de se séparer à l’amiable.

D’une certaine manière, je me reconnais en vous.

c’est la vie, deux bombes qui ont détruit nos plans tout roses.

C’est pourquoi je conseille à chacun de faire le point et de mettre de l’ordre dans sa vie. Il vaut mieux ne pas compter sur la famille / les amis. Préparez un plan B, quoi faire si...

ce n’est qu’un conseil

PS : nous avons maintenant une babysitteuse, un nouveau travail en vue à proximité, nous attendons l’indemnité de départ
 
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