11ant
23.03.2022 21:08:03
- #1
Merci pour les réponses – en particulier, j’aime souvent citer « Des mètres carrés en plus s’ajoutent au prix de vente, des mètres carrés en moins ne sont déduits qu’au prix d’achat » dans les fils de discussion sur les coûts de construction avec des prix au m².
Ok, je vais donc attribuer ici le « hashtag » de recherche du forum « 11ant Skalenpreis Mantra » ;-)
Puisque tu viens de rejoindre mon fil, l’une de tes affirmations-maniaques m’a toujours un peu laissé perplexe :
ici, on planifie souvent les maisons aussi sous l’angle « sans barrières/faible en barrières, au cas où il y aurait quelque chose en vieillissant ». Je vois ça comme une grande partie des forumistes, qu’il vaut mieux construire pour l’avenir prévisible et non pour toutes les éventualités à venir.
Exact, voir aussi « Erreurs de la planification prévoyante de la maison » et « Quand est-il temps de penser à la ‘construction pour la vieillesse’ ? ». Rien que pour des raisons de mobilité sur le marché du travail, de moins en moins de biens immobiliers sont transmis aux descendants, il est donc à peine judicieux de considérer une maison individuelle comme un genre de « bijou familial » (sans compter que dans les familles recomposées, les lignées héritières ne sont plus aussi linéaires qu’avant). S’ajoutent d’autres éventualités (plus de démence / moins d’arthrose) concernant les limitations auxquelles une maison doit répondre. Conclusion : la maison est plus souvent transmise à des résidents étrangers ultérieurs et devient un « compagnon de vie » temporaire. D’ailleurs, à long terme ce fut toujours ainsi, mais expliquer cela dévierait beaucoup dans l’histoire.
Tu avances alors volontiers qu’une part non négligeable des maîtres d’ouvrage d’aujourd’hui construirait à nouveau à cette étape de la vie.
Je constate seulement l’existence d’une telle tendance. Ce sont les cohortes nées vers 1960 actuellement, qui, compte tenu des modèles dans leur environnement social, se décident entre construction neuve et monte-escalier. En général, ils ont auparavant vu chez grands-parents, (beaux-)parents, oncles et tantes, combien on peut investir des sommes énormes dans la rénovation compromise d’un bâti sentimental.
Je me demande toujours OÙ ? Même si, à la fin de la cinquantaine, ils s’attellent à tes conseils Barthel – je n’arrive pas vraiment à imaginer qu’il y ait alors assez de terrains disponibles [...] et là toi et d’autres posez volontiers la très légitime question de savoir si le bâti ne mérite pas d’être conservé.
Donc, un déménagement à un âge avancé, je le vois aussi souvent comme une option de planification sensée. Mais encore une fois franchement demandé : Où crois-tu que les gens dans la meilleure période de leur vie vont construire leur deuxième maison (celle pour l’ami, comme tu dis si volontiers) ?
Tu as d’ailleurs mal compris ce dernier point : la première maison est construite pour un ennemi (soi-même, qui croit encore ne construire qu’une fois dans sa vie, et optimise inexpérimenté les compromis aux mauvais endroits), ensuite on conseille avec ses expériences d’autres maîtres d’ouvrage (comme ici, les amis dans le sens de la maxime ne doivent pas être des connaissances de la vraie vie), et la troisième maison (pour soi-même) est la deuxième à soi.
Et en ce qui concerne tes doutes sur la recherche du terrain, tu dois relire plus attentivement les fils de conseils Barthel (à la source des interventions mentionnées ci-dessus il y a aussi plus à ce sujet). D’ailleurs, « construire neuf » ne signifie pas forcément « construire du neuf totalement », j’aide volontiers aussi bien à réveiller les maisons « la Belle au bois dormant » qu’à construire neuf sur des fondations anciennes.
D’ailleurs, tu n’avais pas besoin d’attendre un hasard pour engager une conversation avec moi : d’une part, ce n’est pas un secret sous quel nom je suis aussi chez gmx(de) et d’autre part tu peux ici, avec un « @ » devant le nom du membre, appeler au débat les participant(e)s de ton choix dans un fil.