J’étais aussi d’avis que tout était une question de planification.
Cependant, cela m’a fait réfléchir que ce problème avait touché autant de personnes avant nous et ils ne pouvaient pas tous être idiots. Je supposais donc que cette problématique avait concerné les prédécesseurs, même s’ils avaient agi de manière ciblée et raisonnable. J’en ai aussi déduit que, contrairement à nos attentes, cela pouvait tout à fait nous arriver.
La décision sur ce que l’on paie en premier dépendait de la liste de priorités personnelle. Nous ne voulions pas nous détériorer. Nous n’avions pas envie de faire des compromis sur ces points et ainsi nous fermer la porte à des solutions à moitié viables. Le reste suivait un cadre prévu et s’y tenait dans une large mesure. Mais le beau revêtement de terrasse n’est arrivé qu’un an et demi après l’emménagement. Si nous avions posé des dalles en béton lavé comme compromis, elles se seraient fixées sur le terrain pendant 20 ans.
Je l’admets, c’est une solution étrange, mais pour nous ça a marché.
Bien à vous
Gabriele