KlaRa
16.08.2016 18:06:04
- #1
Bonjour Matthias.
Les réductions des bords de la zone d’adhérence, qui ont finalement conduit à une rupture latérale du mastic élastique entre les plinthes et les surfaces des carreaux, sont dues à un séchage nocturne de la chape et à son retrait associé vers les couches d’isolation.
Tu avais seulement mentionné dans ton intervention que les carreaux étaient creux dessous. Cependant, dans le cas des grands formats de carreaux, comme je peux le voir sur les photos, au moins lors de la pose en lit mince, il n’est pas possible d’avoir un appui à 100 % ni une humidification arrière à 100 % des carreaux.
Cela ne serait possible qu’avec la pose en lit moyen en raison des plus grandes possibilités de compensation.
Cela est simplement dû au fait que les irrégularités conformes aux tolérances du support de pose s’opposent à cela avec les grands formats.
Donc, si les grands carreaux ne reposaient que partiellement (35 % à 40 %) de manière creuse, ce ne serait pas en soi une raison d’inquiétude.
Cela pourrait toutefois devenir problématique si le carreleur n’a pas effectué de mesure d’humidité résiduelle sur la chape avant l’exécution de son travail.
Mais je ne souhaite pas ouvrir un autre champ problématique à ce sujet !
Il convient donc de retenir que les ruptures latérales du mastic élastique sous les plinthes ne sont pas une raison d’inquiétude et se produisent dans de nombreux autres bâtiments neufs.
C’est pourquoi on parle dans ce genre de joints de joints dits d’entretien, dont la vérification régulière et, le cas échéant, le renouvellement relèvent de la responsabilité du maître d’ouvrage ou de l’utilisateur de l’objet.
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Les réductions des bords de la zone d’adhérence, qui ont finalement conduit à une rupture latérale du mastic élastique entre les plinthes et les surfaces des carreaux, sont dues à un séchage nocturne de la chape et à son retrait associé vers les couches d’isolation.
Tu avais seulement mentionné dans ton intervention que les carreaux étaient creux dessous. Cependant, dans le cas des grands formats de carreaux, comme je peux le voir sur les photos, au moins lors de la pose en lit mince, il n’est pas possible d’avoir un appui à 100 % ni une humidification arrière à 100 % des carreaux.
Cela ne serait possible qu’avec la pose en lit moyen en raison des plus grandes possibilités de compensation.
Cela est simplement dû au fait que les irrégularités conformes aux tolérances du support de pose s’opposent à cela avec les grands formats.
Donc, si les grands carreaux ne reposaient que partiellement (35 % à 40 %) de manière creuse, ce ne serait pas en soi une raison d’inquiétude.
Cela pourrait toutefois devenir problématique si le carreleur n’a pas effectué de mesure d’humidité résiduelle sur la chape avant l’exécution de son travail.
Mais je ne souhaite pas ouvrir un autre champ problématique à ce sujet !
Il convient donc de retenir que les ruptures latérales du mastic élastique sous les plinthes ne sont pas une raison d’inquiétude et se produisent dans de nombreux autres bâtiments neufs.
C’est pourquoi on parle dans ce genre de joints de joints dits d’entretien, dont la vérification régulière et, le cas échéant, le renouvellement relèvent de la responsabilité du maître d’ouvrage ou de l’utilisateur de l’objet.
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