ypg
02.01.2017 19:54:14
- #1
Nous parlons ici de 1400 (en toutes lettres : mille quatre cents) mètres. On peut aussi exagérer les peurs !
Assieds-toi là-bas la nuit à cette distance. C’est juste très bruyant et à mon avis seulement supportable à l’intérieur avec les fenêtres fermées.
Cela semble être une approche plausible, mais malheureusement, elle n'apporte aucune connaissance pour les sons de basse fréquence dans l'infrason, ici, la nature et la composition des éléments extérieurs sont beaucoup plus importantes (problème : la mesure d'isolation acoustique des éléments n'est généralement indiquée que jusqu'à 125 Hz. Mais c'est seulement en dessous que cela devient intéressant pour l'infrason/sons de basse fréquence), ainsi que les soi-disant modes de résonance des pièces concernées. Selon les modes de résonance et les éléments extérieurs, on peut percevoir beaucoup plus fortement, dans les pièces fermées, les composantes de basse fréquence et d'infrason (attention : il ne s'agit pas d'entendre !) que dans l'environnement extérieur.
@TE : si tu as des doutes, abandonne. Moins de 1500 m - indépendamment de la topographie - peut (mais pas forcément) être problématique. Si tu fais preuve d'une certaine sensibilité à ce sujet avant même d'acquérir un terrain, garde tes mains loin.
Je n'ai pas non plus parlé d'infrason.
Quiconque croit aux effets nocifs des infrasons à cette échelle (éoliennes) ne sort probablement qu'avec un chapeau en aluminium.
Ceci est cependant pertinent ici. Les niveaux d’évaluation du bruit A-pondérés sont très probablement effectivement sans importance.
On ne peut parler que de façon limitée d’effets nuisibles. Pour le TE, il s’agit de nuisance, et celle-ci peut tout à fait exister. J’ai aussi longtemps partagé l’avis du « chapeau en aluminium » jusqu’à ce que je passe quelques heures dans une salle d’exposition. Agréable et confortable, c’est autre chose.